N'oubliez pas de déposer au plus tard vos travaux sur le forum (de vos groupes thématiques) lundi 31 mai matin .
Remise des travaux
réservé aux étudiants IAE L3 MRC en FI
Cours Politique de l'offre et nouveaux marchés
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OBJECTIF DU COURS
vous permettre de mobiliser les connaissances, outils & méthodologies pour élaborer une démarche marketing ou comprendre les enjeux d'une collaboration avec les équipes marketing, au travers de la simulation d'un projet réel .. grace à des fiches méthodologies .
SOMMAIRE
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- Introduction & Grandes évolutions du Business Model & son impact sur la construction de l’offre
- Conception de l’offre produit & service : la vision marketing . Tertiarisation &.Digitalisation de l’offre – Concept & Insight
- Marketing expérientiel : Expérientialisation de l’offre, parcours client , création devaleur perçue
- Elaboration d’une stratégie de positionnement catégoriel & marketing
- Avantage concurrentiel, Stratégie concurrentielle & problématiques stratégiques & stratégies de conquête de marché
- Structuration de l'offre, gamme, portefeuille & marque
- Elaboration de la stratégie de Marque 'Capital Marque et Image de marque )- & du Content Marketing
- Impacts du Capital client & Fidélisation sur la conception de l’offre
- Marketing Mix à l’ère du digital
- packaging
- prix cf création de valeur & pricing stratégique
- cmmunication cf content marketing
Bonus
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Séance questions
Puisque les étudiants FA me l'ont demandé, je vous proposer également un rdv zoom pour les équipes qui veulent me poser des questions par rapport à l'avancement de leur projet ...
Inscrivez- vous en commentaire que je sache si vous participez
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : suivi iae
Heure : 17 mai 2021 07:00 PM Paris
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Séance 8
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 12 avr. 2021 02:00 PM Paris
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Séance 7
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 1 avr. 2021 09:00 AM Paris
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Seance 6
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 25 mars 2021 02:00 PM Paris
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Séance 5
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 16 mars 2021 09:00 AM Paris
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Séance 4
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 8 mars 2021 09:00 AM Paris
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Séance 3
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 1 mars 2021 09:00 AM Paris
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Séance 2
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Commentaires
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Membre d'orVideo 1
Conception du produit = prendre en compte la perception qu’a le consommateur du produit
Offre = 3 niveaux :
Pdt noyau = pk le conso achète : réponse a un pb/besoin
Première étape qui déterminera les choix = centré sur les besoins, (fonctionnel/physiologique, sécurité, appartenance, estime, épanouissement = pyramide de Maslow m si en market on parle de palette) du consommateur.
Réduction des freins grâce a la pub
Pdt générique = pdt fabriqué
Métapdt = ce qui va avec (packaging etc)
Video 2
Concevoir une offre qui rep a un pb, avec des fonctionnalité avc des solutions techniques qui répondent à des fonctionnalités = Quels sont les fonctionnalités à satisfaire ? Mais pouvoir faire évoluer la fonctionnalité et le besoin lié au pdt
L’important est que l’image/valeurs du produit soient perçus par le consommateur.
Fonctionnalités perceptuelles = indispensables, cmt donner l’impression que le pdt répond aux besoins choisis ?
Pdt générique = ensemble des solutions techniques/perceptuelles (px, image marque, com, design…) aux fonctionnalités
Video 3 :
Métapdt = tout ce qui va autour du produit et qui constitue une offre (parfois + important que le pdt à la base)
ce qui nous différencie = création d’une valeur supplémentaire = service qui rassure (garantie…) / service qui crée de la valeur supp -
Etudiants CampusVidéo 1 :
Concevoir une offre, c’est d’abord comprendre comment le consommateur va percevoir ce produit et qu’est-ce qu’il faut prendre en compte dans la conception de son produit pour répondre à l’attente du consommateur. Sachant que ce qui compte en marketing ce n’est pas la réalité, mais la perception qu’a le consommateur.
Un produit intéressant, qui répond à son problème, de qualité satisfaisante à ses yeux, qu’il peut désirer, etc…
Une offre, si je veux essayer de la concevoir en prenant en compte la perception du consommateur, il faut essayer de la raisonner en 3 niveaux :
- partir du principe qu’on ne conçoit une offre qu’à partir d’un consommateur cible (ne peut pas répondre à tout le monde). Je vais devoir creuser le consommateur /les et raisonner ma vision marketing d’un produit pour chaque consommateur. Dans ce cas-là, on va d’abord s’intéresser au produit noyau (pourquoi le consommateur achète) -> une partie centrale, pas celle à laquelle ne pense naturellement (celle qui fera la qualité de mon offre et de mon produit).
On s’intéresse au produit lui-même (= produit générique) -> c’est le produit qu’on fabrique et commercialise (les solutions techniques et perceptuelles que je vais mettre en œuvre pour concevoir le produit). Mais ça ne suffit pas ! Ce produit générique, c’est l’ensemble des solutions qui permettent de répondre à ce produit noyau.
Il y a « l’offre » : tout ce qui entoure le produit, qui constitue l’offre, associés dans l’esprit du consommateur à mon produit c’est ce qu’on appelle le métaproduit. De plus en plus d’entreprises s’appuient sur cet élément-là.
Et peut-être d’autres niveaux…
Il faut donc concevoir une offre qui soit une réponse à une besoin/une attente/un problème, avec des fonctionnalités et des solutions techniques qui répondent à ces fonctionnalités, celles-ci répondant elles-mêmes à un besoin et auxquelles on va rajouter un métaproduit.
Vidéo 2 : On a fait le choix du besoin qu’on veut satisfaire, mais ça ne suffit pas. Une seconde est à se poser sur le design dominant.
Le design dominant c’est au niveau des fonctionnalités : l’ensemble des fonctionnalités minimales à satisfaire pour être crédible aux yeux des consommateurs et cet ensemble va évoluer et s’accumuler dans le temps. Ce ne sont plus des sources de différenciation (le consommateur ne percevra pas forcément une différence entre les marques) car il s’attend au minimum à ce que ce produit réponde et apporte ces fonctionnalités-là.En matière d’innovation, le + ne remplace pas le – (des freins seront toujours là D’ABORD)
Le design dominant est un moyen très accessible pour le leader d’évincer les petits acteurs sur le marché en banalisant leur « + » en le faisant rentrer dans tous les produits, on banalise (plus de source de différenciation) et la marque leader a la plus grande part de marché et c’est la marque refuge quand le consommateur ne sait pas quoi acheter.
Si je banalise le petit avantage de mon concurrent, je vais récupérer ma part de marché.
En fonction de l’évolution des attentes des consommateurs, une fonctionnalité peut ne plus être intéressante. Il ne faut pas se définir de façon trop restrictive par rapport à un besoin/fonctionnalité, il faut pouvoir évoluer.
Cette notion a donc réellement du sens y compris d’un point de vue stratégique. Ne pas confondre la fonctionnalité avec la solution.On va avoir des solutions techniques et des solutions perceptuelles. On peut se différencier sur le packaging, en termes de prix, image de marque, ingrédients, notions de design & esthétique…
Vidéo 3 : Ce qui me différencie de plus en plus c’est ce qui créée une valeur supplémentaire quand on a plus de moyen de se différencier sur le produit, ça va être sur le métaproduit (choses que le consommateur associe naturellement à mon produit).
1ère chose qu’il va vérifier quand il achète un ordi, frigo, lave-vaisselle etc…c’est la garantie mais c’est un service supplémentaire qu’on offre et pourtant ce n’est pas un produit.
2 types de services :
- ceux qui vont rassurer le consommateur et lever les freins
- ceux qui sont là pour créer de la valeur supplémentaire pour permettre de vendre plus cher. L’autre élément, c’est le produit qui est intégré dans une offre complète, une solution complète à un besoin (vient notamment du B to B car les entreprises n’achètent pas qu’un produit mais une solution complète à un produit) et ça c’est passé dans le marché du B to C. Le consommateur est prêt à payer plus cher pour avoir un produit coordonné et avoir une réponse complète à son besoin.
L’offre complète est constituée de produits supports et de produits complémentaires (produits accessoires qui viennent enrichir l’offre – en absolu on n’a pas besoin d’un dessert mais je suis content de l’avoir en même temps). Par contre si j’achète une salade, je serai bien ennuyée d’avoir oublié mes couverts = produits supports (produits indispensables à la consommation de mon propre produit)
Il y a un impact très important au produit support car c’est un frein au lancement de mon produit si mon consommateur a besoin d’un autre produit préalablement à l’achat de celui-là.
La concurrence parfois ne se fait pas sur le produit lui-même, mais sur le produit support. Il est important de se questionner sur : y a t’il des produits supports nécessaires sur lesquels je peux faire de la vente additive soit qu’il faut que je maitrise pour réussir mon marché ? Le marché est rempli de flop commerciaux liés à la non-maîtrise des marchés supports
La marge est plus intéressante si l’entreprise arrive à vendre 2 à 3 produits par client plutôt que vendre 1 produit à 3 clients différents. -
Etudiants CampusVidéo 1 : Le produit, comprenant 3 dimensions que sont respectivement le noyau, le produit générique et le méta-produit, doit et a pour objectif de répondre à un besoin. Ces besoins sont d'ailleurs retranscrits dans la pyramide de Maslow. Cependant, certains freins peuvent faire leur apparition, et ainsi entraver le succès et la bonne commercialisation du produit. Il est donc nécessaire de déterminer les freins potentiels auxquels peut faire face le produit, afin d'adapter l'offre pour la rendre meilleure aux yeux du consommateur.
Vidéo 2 : Le produit doit impérativement est pourvu d'un design dominant satisfaisant pour être efficace sur le marché. Le deign dominant désigne l'ensemble des fonctionnalités minimales à satisfaire pour être crédible aux yeux du consommateur, et donc pour vendre. Ce design dominant ne permet plus de se démarquer, mais peut s'avérer éliminatoire s'il est insuffisant. Il permet néanmoins de se rendre crédible et de rassurer le consommateur, surtout pour un nouvel entrant sur le marché (qui devra d'abord rassurer avant d'essayer de se différencier).
Par la suite, l'on peut ajouter au produit des fonctionnalités supplémentaires au produit, afin de se démarquer de la concurrence.
Les fonctionnalités perceptuelles sont également une grande valeur ajoutée pour le produit. Il faut donner l'impression que le produit répond à un besoin prédéfini, qui plaira au consommateur. Exemple de la voiture sûre. Cette fonctionnalité perceptuelle aux yeux des consommateurs se fera par le biais de solutions techniques, capables de mettre en avant cette qualité qu'à le produit, et sa capacité à répondre au besoin défini par avance. Exemple du GPS pour trouver son chemin.
Vidéo 3 : le méta produit cherche à apporter une valeur supplémentaire au produit. Il s'agit de l'offre dans sa globalité, du produit et de tout ce qui est inclus autour, dans l'offre. Le méta-produit se divise en deux catégories : les services et l'offre globale. Sous forme de service, le méta-produit peut rassurer le consommateur (garanties par exemple), mais peut également créer de la valeur, pour améliorer l'offre globale du produit concerné.
Pour l'offre globale, le produit sera vendu par le biais d'une offre complète, composée d'un produit support et de produits complémentaires.
De plus, il est désormais essentiel de jouer sur l'émotionnel, sur l'expérience. La consommation de l'expérience est de plus en plus importante, comme le montre l'entreprise RicheMonts, qui nous vend plus une soirée raclette fantastique, plutôt que le fromage en lui même. -
Etudiants CampusVidéo 1 :
Pourquoi créer un produit ? L'objectif est de répondre à un besoin. Le plus important est de comprendre la perception du consommateur face au produit.
Un besoin* est un état de tension perçu comme un manque.
3 dimensions du produit : le noyau < le produit générique < le méta-produit.
La pyramide de Maslow
Il y a plusieurs familles besoins auxquels un produit peut répondre : le besoin de sécurité, d’estime, d’accomplissement/épanouissement, fonctionnel/physiologique et le besoin d’appartenance.
Pour chacune de ces dimensions, il y a des freins.
Vidéo 2 :
Design dominant = Ensemble des fonctionnalités minimales à satisfaire pour être crédible vis à vis du consommateur. Elles ne sont plus sources de différenciation mais peuvent être éliminatoires car attendues implicitement par le conso.
Il faut savoir faire évoluer son besoin : émail diamant se positionnait comme étant « le dentifrice des dents blanches ». Néanmoins, maintenant tt le monde, ttes les marques se positionnent sur cet axe. Du coup ils n’ont pas su faire évoluer leur besoin, et se sont fait rattrapés par la concurrence.
Pour éliminer l’avantage concurrentiel de notre concurrent, il faut le banaliser.
Tt est question de perception, il faut soigner la 1ère impression. Il y a donc une véritable fonctionnalité perceptuelle. Il faut donner l’impression que le produit répond à notre besoin.
Grande importance du packaging.
Comment donner l’impression qu’une voiture répond à notre besoin de sécurité ?
Voiture sûre : quelles sont les solutions techniques et perceptuelles qui donnent l’impression que la voiture est sûre ? Notre produit doit répondre à plusieurs choses. Produit doit être décliné en besoin, solution et fonctionnalité.
Solution correspond au produit générique, le produit tel qu’on le commercialise. On peut aussi se différencier en termes de solutions techniques (GPS ou pigeon voyageur). Les solutions perceptuelles (image de marque, com, design, prix) ne sont pas directement visibles.
On peut différencier son produit grâce aux mat 1ères, prix, rapport qualité/prix, packaging…
Vidéo 3 :
Le méta-produit c’est tt ce qui va autour du produit qui va constituer une offre. Parfois c’est plus important que le produit à la base car c’est dans le méta-produit qu’on va avoir les sources de différenciation. On nous vend une solution complète et non pas juste un simple produit.
C’est une recherche de valeur supplémentaire
Ex : avoir un service qui nous apporte des conseils de nutrition sur un paquet de céréales.
Certains services sont intrinsèques comme la garantie pour un appareil électroménager, pour le consommateur c’est impensable d’acheter un produit sans garantie.
Il y a 2 gdes notions dans le méta-produit :
1- Les services : SOIT pour lever des freins (rassurer) SOIT pour créer de la valeur supplémentaire, une vente additive (vendre plus cher).
Cela peut être une fiche de recette qui accompagne un produit (ex : foie gras, comment le cuisiner) ou des cours de cuisine/ des visites de la ferme (qui génère du CA et qui rassure).
2- L’offre globale, notre produit est intégré à une solution complète à un besoin.
Cela vient du B2B où les industriels achètent une solution complète. C’est le principe du plateau repas/ du menu plutôt que d’acheter un simple sandwich. Cette offre Globale est composée d’un produit support et de produits supplémentaire (ex : un dessert, pas forcément indispensable dans le menu). Le produit support peut être qqchose d’indispensable à la conso (ex : couverts à salade pour manger notre salade).
Véritable frein à la vente d’un produit si on ne maîtrise pas la pbtique du produit support.
C’est un enjeu également pour rendre le marché captif. -
Etudiants CampusVidéo 1 : Ce qui compte dans l’offre, c’est la manière dont va répondre mon produit à un besoin. Le produit est constitué de 3 éléments : le produit noyau, le produit générique puis le métaproduit. Il est important de cerner quels besoins et quels freins va rencontrer mon produit pour pouvoir adapter sa conception et sa communication auprès de ma cible.
Vidéo 2 : Après avoir défini le produit, les besoins auxquels il répond et les différents freins il faut ensuite définir le design dominant. Le design dominant à de l’importance car il permet de se différencier des concurrents mais aussi de bien s’encrer dans un marché. Il faut dès lors bien rassurer le consommateur avec des fonctionnalité perceptuelle pour faire une bonne impression.
Vidéo 3 : Le métaproduit est une source de différenciation, de rassurance et de création de valeur perçue mais aussi financière.
Le métaproduit est fait de deux grande familles. Les services avec la rassurance et la valeur supplémentaire, puis l’offre globale.
Aujourd’hui dans le métaproduit il est essentiel de mettre en avant l’expérientiel et l’émotionnel pour créer une valeur et donner l’envie au consommateur. -
Membre d'orVidéo 1 : Concevoir l'offre est le point primordial, pour cette étape il faut comprendre comment le consommateur va percevoir le produit. Ce produit doit répondre aux attentes du consommateur. Cette perception qu'il aura du produit va être responsable de la réussite ou non de l'offre. Le produit noyau va déterminer les choix pour le reste du processus. On détermine alors la cible et les besoins de celle ci. C'est un moyen de se différencier des concurrents. Ces besoins peuvent évoluer pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs. Attention, il y a de nombreux freins à franchir sinon le produit ne se vendra pas. La publicité a un rôle clé pour soulever les freins des consommateurs.
Vidéo 2 : La deuxième étape est de choisir le design dominant, il représente les fonctionnalités minimales qu'attendent les consommateurs. Il n'est pas différenciant mais apporte de la crédibilité au produit. De plus, il permet de rassurer la cible et de faire en sorte que la marque soit considérée, surtout pour les nouveaux entrants sur les marchés. Lorsque ce design dominant est validé il est possible de rajouter des fonctionnalités supplémentaires. C'est un plus mais ce n'est pas nécessaire. Pour terminer sur cette étape, il faut travailler la fonctionnalité perceptuelle du produit, c'est à dire la première impression sur le produit. Cette étape est au coeur de l'offre.
Vidéo 3 : La dernière étape s'appelle le métaproduit. On créer une offre totale autour du produit de base. C'est une source de différenciation qui peut prendre différentes formes mais également une création de valeur supplémentaire. Ainsi cela aura un impact stratégique de rassurer le consommateur (garantie) mais aussi de créer de la valeur. -
Membre d'orVidéo 1 : Afin de concevoir une offre il faut comprendre la perception que le consommateur a du produit. Ce produit doit répondre aux besoins du consommateur et pour cela on s’intéresse au produit noyau, c’est à dire au coeur de ce qu’achète le consommateur.
Les entreprises doivent choisir à quelle famille de besoin va répondre son produit car dans chaque famille se trouve des freins que l’entreprise va devoir contrer (avec la publicité par exemple).
Vidéo 2 : On se pose la question du design dominant, c’est à dire des fonctionnalités minimales à satisfaire pour paraitre crédible aux yeux des consommateurs. Les marques doivent donc déterminer ces fonctionnalités minimales.
Ces fonctionnalités peuvent poser problèmes aux nouveaux entrants sur un marché mais aussi à l’innovation.
Ce n’est que quand on valide ces fonctionnalités minimales qu’on peut ajouter des fonctionnalités supplémentaires et se différencier de la concurrence.
Vidéo 3 : On s’intéresse finalement au métaproduit = tout ce qu’il y a autour du produit et qui constitue une offre. Le métaproduit va créer une valeur supplémentaire et va être source de différenciation.
Le métaproduit peut être sous forme de service et va rassurer (garantie, SAV…) ou créer de la valeur supplémentaire. Le métaproduit peut également être sous forme d’offre globale avec des produits supports (produit nécessaire à l’utilisation du produit principal) et des produits complémentaires.
Il faut également utiliser l’expérience client et l’offre commerciale. -
Membre d'orBesoin : il faut bien détecter à quel besoin répond le produit. ( ex : besoins d’appartenance sportif voiture PSG )
Attention il faut détecter et réduire les freins ! ( éviter de développer le sentiment de culpabilité : soupe instantanée mère indigne , alsa : papa célibataire qui ne sait pas faire à manger. ) ➜ la communication permet de faire évoluer cela
La fonctionnalité est une réponse aux besoins. Ex : dentifrice (haleine fraîche) basé sur les besoins de séduction.
Design dominant : Rassurer sur le design dominant pour être crédible ( d’autant + si on est pas connus )
Important de savoir les fonctionnalités minimales à satisfaire. Ex : naf naf (couche colorés)
Par la suite il faut penser au plus ( pas obligatoire mais ça peut être une source de différentiation )
Le + important c’est la perception du consommateur et pas la réalité. ( fonctionnalités perceptuelles ≠ fonctionnalités techniques )
Méta Produit : On achète une offre complète, c’est aussi une recherche de valeurs.
Il faut assurer , rassurer le consommateur en proposant des services perçus et valorisés par le consommateur qui sont très valorisés.
Notion d’abonnement : vente à l’usage
Au-delà du produit , il y a une montée en valeur, il faut donc travailler sur l'expérientiel et l’offre commerciale. -
Membre d'orVidéo 1 :
Concevoir une offre : c’est comprendre comment le consommateur va percevoir le produit. La perception du consommateur sur le produit est plus importante que la réalité.
Pour cela il faut résonner sur 3 niveaux :
- Le consommateur cible : le produit noyau : l’intérêt du produit
C’est centré par rapport au besoin du consommateur.
Il faut pour cela trouver le problème du consommateur que le produit pourrait résoudre.
On se refaire à la pyramide de Maslow pour choisir la famille de besoin auxquelles notre produit va répondre (il peut y en avoir plusieurs).
Vidéo 2 :
- Le produit : le produit générique : solution technique pour fabriquer le produit
Il faut ensuite trouver les fonctionnalités minimales à satisfaire pour être crédible face au consommateur. Cela évolue dans le temps.
C’est un cahier des charges qui est essentiel pour le consommateur.
Vidéo 3 :
- L’offre : méta produit : tous ce qui entoure le produit.
Tous ce qui va autour d’un produit et qui constitue l’offre. Cela crée une valeur supplémentaire.
Il y a deux types de méta produit :
Les services : soit pour rassurer soit pour apporter de la valeur.
Offre globale : avec le produit support et le produit complémentaire. -
Etudiants CampusVidéo 1 :
Avant de concevoir un produit, il faut d’abord connaitre le ou les besoins des consommateurs cibles. En effet, il faut comprendre quel problème est ressenti par le consommateur afin de le résoudre. Pour cela, on va chercher à savoir comment ce dernier va percevoir le produit pour savoir dans quelle famille de besoins le placer. Enfin, il faudra faire de la publicité pour contrer les freins ressentis par le consommateur.
Vidéo 2 :
Une fois que le besoin a été trouvé, il faut rechercher quelles sont les fonctionnalités minimales à satisfaire pour être crédible aux yeux du consommateur, appelé design dominant. Une marque qui n’est pas encore crédible dans un domaine (les nouveaux entrants) ne peut pas se permettre d’ajouter des fonctionnalités supplémentaires. Il faut d’abord rassurer le consommateur sur les fonctionnalités minimales à satisfaire. Ce n’est que lorsqu’on est crédible (ex : Pampers pour les couches bébés) qu’on peut ajouter des fonctionnalités supplémentaires qui seront sources de différenciation.
Vidéo 3 :
Après s’être intéressé aux besoins du consommateur et au design dominant, il faut se pencher sur le Méta produit. Il est constitué de tout ce qui va autour du produit. C’est ce qu’on appelle l’offre. Elle peut être présente sous forme de services qui permettront de rassurer le consommateur (ex : la garantie) et de créer de la valeur (ex : cours de cuisine). De plus, elle peut être sous forme d’offre globale, constituée du produit support (produit d’origine + produits nécessaire à son utilisation) et des produits complémentaires. Mais ce n’est pas tout, l’offre se base également sur « l’offre commerciale » (promotion, sourire du vendeur…) et sur l’expérientiel qui est une notion extrêmement importante pour pousser à l’achat.
Séance 1
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 11 janv. 2021 02:00 PM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/99720148365?pwd=aUdJSnRlOHNIL2t3MEdRUnNzbFZZQT09
ID de réunion : 997 2014 8365
Code secret : 785443
Dossier Produits Locaux - Marchons local
Dossier Politique de l'offre et nouveaux marchés.pptx
Lire la suite...Projet final partenaire sportif
Projet partenaire sportif Moreau_Marchand_TaMusset_Carpels_Muyls_Lebas_Ducrocq.pptx.pdfLien de la vidéo publicitaire : https://drive.google.com/file/d/1acpGVAq7-icldxMqjx8RSsjXZlnMuBbf/view?usp=sharing
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Commentaires
Clémence Ignaszak, Lucie Citerne, Marine Senecat, Pauline Hennebicq, Caroline Girard et Alicia Demailly
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