N'oubliez pas de déposer au plus tard vos travaux sur le forum (de vos groupes thématiques) lundi 31 mai matin .
Remise des travaux
Dossier Produits Locaux - Marchons local
Projet final Nordissimiam
Projet final Nordissimiam
Rendu du projet
projet partage sportif
maquette site
maquette site
Personae + valeur perçue + triangle d'or
triangle d'or
réservé aux étudiants IAE L3 MRC en FI
Cours Politique de l'offre et nouveaux marchés
- Programme
- Sites web recommandés
- Travail continu
- Nordissime
-
-
OBJECTIF DU COURS
vous permettre de mobiliser les connaissances, outils & méthodologies pour élaborer une démarche marketing ou comprendre les enjeux d'une collaboration avec les équipes marketing, au travers de la simulation d'un projet réel .. grace à des fiches méthodologies .
SOMMAIRE
-
- Introduction & Grandes évolutions du Business Model & son impact sur la construction de l’offre
- Conception de l’offre produit & service : la vision marketing . Tertiarisation &.Digitalisation de l’offre – Concept & Insight
- Marketing expérientiel : Expérientialisation de l’offre, parcours client , création devaleur perçue
- Elaboration d’une stratégie de positionnement catégoriel & marketing
- Avantage concurrentiel, Stratégie concurrentielle & problématiques stratégiques & stratégies de conquête de marché
- Structuration de l'offre, gamme, portefeuille & marque
- Elaboration de la stratégie de Marque 'Capital Marque et Image de marque )- & du Content Marketing
- Impacts du Capital client & Fidélisation sur la conception de l’offre
- Marketing Mix à l’ère du digital
- packaging
- prix cf création de valeur & pricing stratégique
- cmmunication cf content marketing
Bonus
- Groupe FB Marketing4innovation
- L'oeil laser ( tendances marketing & sociétales) & les faits de conso
- credoc
- Kantar ( panel distri & conso ..) mais aussi kantar media
- Nelly Rodi ( tendanceurs) Inspirations food + inspirations Mkg & etc
- Alimagri Fiches tendances de consommatin 2025 ou prospective alimentaire
- etude inca 3
- Mintel.com ( global-food-and-drink-trends-2017 )
- Trendhunter.com
C'est un travail collectif par équipe ( 7 étudiants) & individuel . Vous allez
- 1) Appliquer les démarches vues en cours ( fiches méthodologiques) ..sur un mini projet concret.. Analyse, propositions .. vous rendrez à chaque séance le fruit des reflexions immédiates ... et vous formaliserez finaliserez un dossier final complet ( formalisation des différents exercices vus en cours .. en vérifiant la cohérence d’ensemble) .. à rendre en ligne = .. ( en version PPT & non PDF) .. un lien de téléchargement vous sera indiqué ..
- 2) Vous allez élaborer la stratégie marketing à adopter ( alternatives, problématique stratégique générale, notamment en termes de positionnement .. avec argumentation & justification vis à vis des obectifs soit de notoriété, fidelisation ou création d’image de marque, attachement .
- 3) Proposer et concevoir la communication :
- une idée créative de publication "virale" pour Facebook ..adaptée à votre projet ..
- une landing page web
- 4) Concevoir /Concrétiser/ Réaliser la mise en place du projet ( ou ses livrables) en ligne ou en édition, dans le respect des contraintes données. L'animer sera un plus ..
D'un point de vue individuel ( individualisation de la note malus ou bonus)
- 1) le controle continu des notions vues en cours sera effectué en commentaire des videos de cours ( individualisation de la note malus ou bonus).. Pour chaque video de cours vous aurez à présenter les 3 notions /infos clés qui vous interpellent.
- 3) Vous contribuez à la conception concrete de votre projet .. Evaluation de votre contribution par le chef d'équipe.
Liste des exercices
- Réfléchissez au Business Model du projet ( proposition de valeur, clients & flux de revenus)
- Construisez la proposition de valeur du Projet
- Au travers de la vision Mkg du Projet
- Au travers de la création de valeur perçue
- Pour un Persona & parcours d’achat ou d’usage
- Value canva
- Création de 2 valeurs parmi valeur fonctionnelle, émotionnelle ou sociale
Elaborez la stratégie Marketing
- Analyse de la Segmentation ( evaluation IACC d’un segment)pour ciblage
- Construction du Positionnement ( en 4 étaoes)
- Positionnement des concurrents ( mapping concurrentiel ou camembert)
- Identification de sources de différenciation novatrices ( nouvel espace stratégique)
- Triangulation positionnement / consommateur / Projet / Concurrents
- Proposition d’une stratégie de positionnement / suiveur / Maillon faible / Ocean bleu etc .. Recommandation
- Elaboration d’une stratégie de marque (Plateforme identitaire)
Créez le contenu Marketing ( communication) en cohérence
- Publication virale
- 12 idées ( & titres) de publication & 3 idées de lead magnet
- Création d’une maquette de landing page.
Liste des sujets possibles
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1) Agenda Life ou site web- garder en mémoire ( tout au long de sa vie ) & transmettre sa vie aux générations futures..
2) Agenda nordissime ou site web ( Economie du partage, entraide, solidaire & des bons plans)
3) Site Créateurs du Nord
4) Site Vente a emporter nordissimiam
5) Site Echange / vente de petits plats /tables d’hotes – partage gourmand
6) Site de Bonnes adresses gourmandes autour des produits locaux typiqus & atypiques ( parcours gourmands, associations culinaires, fournisseurs etc)
7) Site 1 idée gourmande par jour du calendrier évenementiel
8) Je recherche un partenaire - partage sportif
9) Je partage ma passion, mon SF .. proposition d’Ateliers partagés par des amateurs ou des pros-transmission SF ntre amateurs
C'est un réseau social dédié au partage dans le Nord : Gourmand, Culturel, Créatif & Solidaire .. autour de bonnes adresses, sorties, produits & partages entre amateurs.
C'est aussi la création d'un fil de visibilité régionale des initiatives & petits acteurs passionnés, dynamiques .. et de partage entre particuliers amateurs.
Il n'a pas de vocation commerciale mais participative et associative pour assurer sa pérennité ..
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Séance questions
- Infos
- Inscription
Puisque les étudiants FA me l'ont demandé, je vous proposer également un rdv zoom pour les équipes qui veulent me poser des questions par rapport à l'avancement de leur projet ...
Inscrivez- vous en commentaire que je sache si vous participez
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : suivi iae
Heure : 17 mai 2021 07:00 PM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/93920402926?pwd=MEpPSzRPa2VjTzJoYWF0MnlrOTVGZz09
ID de réunion : 939 2040 2926
Code secret : 897789
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Séance 8
- infos cours
- controle presence
- Exercice
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 12 avr. 2021 02:00 PM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/99167182814?pwd=cDAzVTB4bFgyendlc0FZQjNhVnR5dz09
ID de réunion : 991 6718 2814
Code secret : 295877
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Séance 7
- infos cours
- controle présence
- commentaires video
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 1 avr. 2021 09:00 AM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/92690895612?pwd=SURNRkhWbWxtb2hXS0VWdVBGSTB1UT09
ID de réunion : 926 9089 5612
Code secret : 032498
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Etudiants CampusVidéo 1 : élaboration stratégie de marque. Il s'agit de trouver un nom de marque à la fois distinctif, original et disponible juridiquement parlant. Une marque n'est protégée que sur la catégorie qui a été protégée (faire le dépôt à l'INPI). Il existe des dépôts juridiques spécifiques selon que l'on dépose un nom ou un dessin (logo) , donc des droits de propriétés différents. Le nom de marque doit être le plus sensoriel possible car ce sera plus efficace pour les ventes. Enfin, un bon nom de marque doit être sensoriel/gourmand, lisible y compris à l'étranger, mémorisable, évocateur, et d'un point de vue juridique original & distinctif, déposable et disponible.
Vidéo 2 : Plus la marque est forte, plus il y aura des avantages. La notoriété ne suffit pas, l'enjeux c'est de devenir la marque préférée ("love brand") pour créer du lien avec le consommateur, car l'attachement est nécessaire pour la fidélisation.
Il faut se poser principalement deux questions : à quelles valeurs associer ma marque & vers quelle personne projeter mon consommateur (pour mettre en confiance le consommateur et le séduire). Pour répondre à cela, nous pouvons nous aider d'outils développés par Kapferer tels que la plateforme de marque ou encore le prisme d'identité.
Vidéo 3 : comment construire une marque forte?
L'identité de marque n'est pas une constante mais est dynamique car elle évolue. La marque va être considérée comme une personne pour lui attribuer des valeurs (cercle de valeurs de Schwartz), elle va être humanisée (antrhopomorphisme)
Pour définir l'identité de marque nous pouvons nous focaliser sur 4 éléments :
Les emblemes (représente le produit typique de la marque) = produit drapeau. Cela va permettre de savoir quelles sont les valeurs tangibles de la marque pour ensuite communiquer ces valeurs.
Les signes : éléments pour signifier ce qu'est la marque (couleur, typographie, personnage...) qui font que la marque est reconnue.
La personnalité : la marque est considérée comme une marque et il faut lui attribuer des traits de caractère.
L'idéologie : l'essence de la marque, ses valeurs et sa raison d'être.
Vidéo 4 réussir sa stratégie de marque
-> ne pas confondre la marque avec l'entreprise
-> la marque n'est pas un produit (on peut avoir un produit très bon et de très bonne qualité mais qui ne laisse pas de trace dans l’esprit des consommateurs - clients ou non clients)
-> créer une expérience différenciante par rapport aux concurrents
La marque forte est celle qui va réussir pendant longtemps, à devenir ce fameux repère dans la tête des gens
-> observer, regarder comment vivent les gens, les clients que je vais cibler
-> rappeler au client tous les jours quelle est la véritable différence.
-> ne pas prendre de décisions trop hâtives. une marque forte c’est une marque qui se remet en question régulièrement, qui se repose les questions qu’elle s’est posée au démarrage et qui n’a pas peur de faire « page blanche » même si elle a une longue histoire
L’excès de marque c’est créer une nouvelle marque à chaque fois qu’on lance un nouveau produit
Vidéo 5 : Les stratégies de marque
Historiquement, il y avait une marque par produit (stratégie des lessiviers). Mais cette stratégie a perdu la côte et on est maintenant plutôt sur une réduction du nombre de marques pour justement devenir la fameuse marque forte.
Kapferer a créé le théorème de l'élastique : plus on héberge un nombre de catégories important, plus on va diluer l’ensemble des représentations mentales associées à ma marque et donc sa valeur
On a aussi la marque générique caution avec des marques prénoms, la marque gamme ou encore la notion de co-branding.
Il est aussi nécessaire de réfléchir à la construction de marque en fonction des circuits de distribution
2 notions : notion de typicalité (capacité d’un produit à représenter une catégorie) -> On se rend compte que le consommateur résonne par catégorie ; il catégorise
Notion de territoire de marque : ensemble de représentation mentale associé à la marque dans l’esprit du consommateur). On s’est rendu compte que ce territoire de marque est constitué de deux niveaux ; le noyau central qui doit être stable (l’élément qui fait la valeur de ma marque, qui ne doit surtout pas être démoli ou détruit) et système périphérique évolutif qui permet une certaine évolution de la marque. -
Etudiants CampusVidéo 1 : L’élaboration de la stratégie de marque
La stratégie de marque devient le nouveau capital de l’entreprise. La marque prend le relais comme forme de capitalisation et de pérennité de l’entreprise.
Pour prospérer dans le temps, la marque se doit d’être originale et de se différencier. Par contre, le nom de marque doit être original et disponible (il faut trouver un nom pas encore protégé). Il faut vérifier cela sur le site de l’INPI. Cependant, un brevet peut coûter plus cher qu’un dépôt de marque (hormis le fait qu’il faut communiquer et faire connaître sa marque).
La marque, théoriquement en termes de droit l’emporte sur le nom de domaine. Le nom de marque est une plus value pour l’entreprise, s’il est gourmand (domaine alimentaire), s’il est sensoriel. La marque a un rôle tactique historiquement parlant, joue plusieurs rôles (identification, repérage, praticité, mémorisation, rôle ludique, personnalisation, distinction par rapport aux concurrents et rôle de garantie).
Un bon nom de marque pour être efficace, doit être évocateur, sensoriel, gourmand, lisible, facile à prononcer et facile à lire dans toutes les langues (KODAK), mémorisable, original, distinctif, déposable et disponible juridiquement.
La stratégie de marque en tant que capital, doit être protégée. La marque est au cœur de toutes les décisions marketing concernant l’innovation, la fidélisation, la différenciation ou encore la structure de l’offre.
Vidéo 2 : L’élaboration de la stratégie de marque (partie 2)
L’objectif est d’avoir une marque forte car plus la marque est forte, plus elle a des avantages (6 avantages: pratiquer un prix plus élevé, fort pouvoir de négociation, efficacité commerciale, rôle de transition, fidélisation, pérennité).
Mais la notoriété ne suffit pas. Il s’agit de devenir la marque préférée, d’être une marque d’amour (lovebrand). L’enjeu est d’avoir d’un côté cette base de notoriété mais d’avoir également une image, un contenu qui va créer ce fameux lien associé.
Le pouvoir de la marque est sur la notoriété et la force, rôle en termes de qualité et de satisfaction (garantie), de satisfaction et d’un contenu positif.
Beaucoup de marques fortes sont des marques de préférences (connues et reconnues).
Pour faciliter le réachat, il faut être une marque préférée, il y en a 3 sortes :
La marque drapeau (j’aime et je partage ces valeurs)
La marque aspirationnelle (marque statut, je veux être cette personne)
La marque culte (j’adore, je suis fan par exemple nutella)
Il faut créer du sens et du contenu (avec la notion de projection, neurone miroir par exemple) —> utile et pratique, ludique et divertissant, informatif et découverte). On cherche à créer un lien avec la communauté.
Il existe 3 outils pour cela : travailler sur la plateforme de marque (considère la marque comme une personnalité), l’identité, la culture de marque.
Ensuite, on différencie les canaux de distribution.
Vidéo 3 : L’élaboration de la stratégie de marque (partie 3)
La stratégie dite des lessiviers (une marque par produit) a perdu la côte. On va alors vers des marques si possible fortes, vers une stratégie de la marque ombrelle (une seule marque pour toute sorte famille de produits). Il faut trouver une forme de cohérence, de logique de produit. Il faut avoir des arbitrages à faire en termes d’efficacité.
La marque ombrelle est une stratégie de marque de plus en plus importante mais ce n’est pas la seule. Il y a également la marque générique (marque caution, marque prénoms - complément par produit),la marque gamme (pour une gamme ou ligne de produits à fort univers et renouvellement de références chaque année) et le co-branding (alliance de marques).
Concernant la typicalité (capacité d’un produit ou d’un service à représenter une catégorie), le territoire de marque est composé de deux éléments : le noyau central à ne pas détruire puis le noyau périphérique qui permet l’évolution de sa marque.
Vidéo bonus 1 : L’identité de la marque
Comment construire des marques fortes : construire une conscience collective de l’identité de marque, transmettre l’identité de la marque aux collaborateurs puis communiquer.
On transmet l’histoire de la marque, elle est dynamique, bouge et évolue.
Les valeurs sont très importantes pour une marque alors pourquoi communiquer dessus? Si une marque porte des valeurs, elle va être humanisée, c’est de l’anthropomorphisme. Plus elle va être humanisée, plus le consommateur va entrer en relation avec ces marques. Plus on a de valeur forte, plus les collaborateurs vont avoir du sens et vont pouvoir s’identifier et se projeter sur cette marque. On reprend les idées (emblème, signes, personnalité et idéologie). Avoir des valeurs, c’est aussi utile pour le marketing mix.
Vidéo bonus 2 : Réussir sa stratégie de marque
1ère étape, faire de sa marque un repère mental dans l’esprit des clients :
différencier la marque et l’entreprise
distinguer la marque et le produit
créer le repère mental de la marque pour lever le doute dans la tête des clients
créer une expérience client différenciante par rapport aux concurrents.
2ème étape :
devenir et rester indispensable
observer
rappeler en permanence la marque et la valeur ajoutée
savoir se remettre en question
3ème étape :
avant de supprimer ou transformer littéralement une marque, il faut réfléchir au coût de reconstitution de la marque
disposer d’un nombre optimal de marques dans votre portefeuille pour couvrir le marché
penser l’architecture de la marque -
Etudiants CampusVidéo 1 :
Il s’agit ici de la stratégie de marque. La première étape our cela est de trouver un nom de marque encore libre. Il est important de se différencier des autres concurrents, tout en se protégeant juridiquement. Le nom de marque est plus important que le nom de domaine mais l’idéal est de les déposer tous les deux. Cette première a un rôle majeur et tactique car elle permettra au consommateur de s’identifier, de se distinguer des concurrents et de se positionner quant à ses valeurs. Elle a en effet un rôle de garantie.
Un nom de marque efficace est celui qui sera lisible, mémorable et prononçable dans tous les pays. La marque est au cœur des décisions stratégiques.
Vidéo 2 :
Il s’agit ici des avantages de la marque forte. En effet, cela permettra à l’entreprise d’avoir une meilleure efficacité commerciale. Celle-ci a également un rôle de transition, de fidélisation et de pérennité. C’est elle qui va attirer le client et le fidéliser. Mais la notoriété n’est pas le seul point auquel s’inquiéter : il faut devenir la marque que les consommateurs préfèrent et créer un contenu d’attachement. Elle a ainsi un rôle d’indicateur de garantie. Il y a plusieurs types de marques (drapeau ; cultes…) : il faut donc adapter son contenu : ludique pour les jeunes, informatifs pour les personnes âgées.
Pour élaborer la stratégie de capital marque : faire une roadmap chaque année.
Vidéo 3 :
Il s’agit des stratégies de structuration de marque. Il y a différentes stratégies :
marque ombrelle : une marque pour plusieurs produits : attention à la cohérence
marque générique : sous-marque d’une marque connue
marque gamme
co-branding : l'association de deux ou plusieurs marques
Il s’agit de territoire de marque, constitué de 2 niveaux. -
Membre d'orVidéo 1 : La marque est désormais garante de pérennité pour l’entreprise, en lieu et place du produit. Comprenant un ensemble de caractéristiques, la marque est soumise à des contraintes d’originalité vis à vis des autres acteurs. Elle doit être aisément distinguable d’une autre marque, créative, et surtout et disponible juridiquement (certaines marques trop évocatrices de fonctionnalités ou au contraire sans aucune connotation peuvent être refusées).
Il faut privilégier la marque au nom de domaine (bien que les deux soient complémentaires).
En ce qui concerne le rôle de la marque, celui-ci est principalement un rôle tactique.
Elle permet l’identification, la personnalisation, et c’est la première chose qui distingue l’entreprise de ses concurrents, Certaines représentent elles-mêmes un gage de qualité. En termes de stratégie marketing, la marque influe sur l’offre , la différenciation, le positionnement, le rapport au consommateur, la fidélisation…
Vidéo 2 : Une marque n’a pas vocation à simplement exister. Pour les entreprises, elle doit prendre le pas sur les autres et devenir la favorite : on parle de love brand. On va distingue les marques fortes, qui font preuve d’une forte efficacité commerciale, se proposent à un prix plus élevé, et qui ont un rôle de transition important (elles concentrent l’attention sur les nouveaux produits, vont fidéliser une clientèle importante, …). en bref, elles sont indispensables pour le développement de l’entreprise.
Désormais, la notoriété de la marque n’est plus suffisante, et doit dépasser cette caractéristique pour prendre le pas sur les autres. Elle doit être attachante, créer de l’émotion, une expérience. Elle doit adopter des valeurs positives, promouvoir des comportements inspirants, être proche des consommateurs qui vont s’y identifier. La confiance et le désir vont primer sur la qualité de la marque.
La seule manière pour une marque d’atteindre ces objectifs se fait par la création de contenu et la maîtrise de canaux de communications et d’outils variés.
Vidéo 3 : On présente ici plusieurs stratégies de structuration de la marque
Quand l’entreprise possède une seule marque qui concerne plusieurs produits, on parle de marque ombrelle. La marque ombrelle doit respecter plusieurs éléments, comme une cohérence entre les différents produits en question, ce qui oblige à réaliser des arbitrages d’efficacité.
Quand on a une sous-marque d’une autre marque plus connue, on parle de marque générique.
Une stratégie dite de marque gamme possède un univers fort, un flux renouvelant de produit fréquent
Quand plusieurs marques/entreprises décident de s’associer, on parle de cobranding, on aura alors une communication de l’une vers l’autre, de nouveaux produits issus de la collaboration…
La notion de territoire de marque est abordée. Ce territoire se constitue de deux niveaux : un noyau central qui doit être préservé tel quel, et une zone périphérique qui permet l’évolution.
Vidéo b1: La conception d’une marque forte passe nécessairement par la construction d’une identité de marque. Cette dernière doit être bien définie, elle doit permettre la différenciation. Une fois que cela est fait, on peut élaborer une conscience collective, et communiquer sur l’ensemble. On a crée une histoire qui sera transmise, et qui devra être dynamique, en perpétuelle évolution, car il est important pour une marque d’avoir un parcours non constant.
Il faut aussi adopter des valeurs auxquelles le consommateur se rattache, afin de développer une relation forte et une fidélité unique. Plusieurs méthodes : laisser les collaborateurs s’exprimer, et présenter les idées clés, comme les emblèmes, les signes, la personnalité ou encore ’idéologie.
Vidéo b2 : Lors de l’achat, le client a d’abord le repère de la marque en tête, mais c’est bien sa relation avec le produit qui sera décisive pour conclure l’achat. Cela se fait notamment en proposant une expérience cliente qui différencie de la concurrence. Apprécier le degré de différenciation se fait en à travers plusieurs questions : Est-ce que le produit est indispensable ? Comment le devenir encore plus ? Il faut observer les modes de vie, voir comment les produits sont utilisés par les clients, …
Les qualités d’une marque forte sont sa capacité à se renouveler en permanence, parfois à travers une remise en question totale. En cas de difficultés importantes, l’entreprise doit identifier le prix de reconstitution de la marque en premier, et si cela est insuffisant, elle peut envisager la suppression ou la transformation. Dans tous les cas, il est important d’avoir plusieurs marques sur un marché. -
Etudiants Campus1ère Vidéo : Stratégie de marque
La stratégie de marque est le capital de la société. Malgré une protection juridique qui peut être contraignante la marque doit être originale et doit pouvoir être différenciante. Ainsi, les entreprises se confrontent à de nombreuses barrières. Tout d’abord la marque doit être créative, innovante et bien sûr disponible. Alors les différents objectifs de la marque sont qu’elle doit être tout d’abord déposable au niveau juridique, évocatrice, originale, distinctif et mémorisable.
La marque détient un rôle tactique, c’est-à-dire qu’elle doit jouer plusieurs rôles, être personnalisée, distinctive et permettre l’identification par rapport à la concurrence.
La marque permet donc de prouver la qualité qu’elle peut proposer. La marque est au cœur de la stratégie marketing en tant que fidélisation, différenciation, ou de l’offre.
2ème vidéo :
L’entreprise va rechercher à avoir une marque forte pour avoir des avantages différents comme la position de force et l’efficacité commerciale. Ainsi, via cela, elle va pouvoir se faire connaître, fidéliser et faire racheter, son but est de se pérenniser.
Cependant, l’enjeux est de devenir une lovebrand, il faut que les clients s’attachent. Le pouvoir de la marque c’est :
Nocivité et force
Satisfaction,
Indicateur de garantie,
Contenu positif,
Aspirationnel,
De culte,
La marque ne peut pas se contentée de la notoriété. Elle doit avoir plus que ça, elle doit devenir la préférée.
IL faut une notion dimensionnelle avec l’émotion et l’expérience.
Pour créer une marque préférée il faut créer du contenu et avoir des canaux de communication afin d’accroître la confiance et le désir.
Alors il y a trois types de contenu :
Utile et pratique
Informatif et découverte
Ludique
Ce contenu doit correspondre aux cibles.
3ème vidéo :
Une marque ombrelle est une marque qui recouvre plusieurs produits. Pour cela, il faut une cohérence et de la logique. Alors il faut bien contrôler les différentes performances.
Ensuite, il existe la marque générique qui est une marque appartenant à une marque plus connue d’une même entreprise.
La stratégie de marque gamme doit être faite d’un univers fort et d’un flux fréquent.
Pour finir, le cobranding est le principe par lequel une marque communique sur une autre marque ou un produit pour créer une collaboration.
Le territoire de marque est composé de deux éléments : le noyau central, très important et à ne pas nier puis le noyau périphérique qui aide à l’évolution de sa marque.
Vidéo bonus :
Pour avoir une image forte il est essentiel de définir l’identité de la marque, créer une conscience et communiquer dessus. L’histoire doit être dynamique. Une marque avec des valeurs sera humanisée et aura une bonne relation avec ses clients avec l’aide des collaborateurs qui vont bien parler de notre marque. Pour cela il faut utiliser des emblèmes, des signes, de la personnalité et de l’idéologie.
2ème bonus :
La relation avec le produit est déterminante, il faut créer de l’expérience pour se différencier des concurrents. Plusieurs questions doivent être posée pour savoir si nous sommes différents. Pour y répondre l’observation est très importante. Il faut toujours innover et se poser les bonnes questions. Si nous rencontrons des difficultés, il faut voir le prix de reconstitution de la marque. Il faut de nombreuses marques pour être suffisamment présent sur le marché. -
Membre d'orVidéo 1
Juridiquement, une marque n’est protégée que sur la catégorie qui a été protégée
Dénommer un produit a un rôle d’identification de mémorisation, un rôle ludique, de personnalisation, de garantie et même un rôle de transition. Un bon nom de marque doit être sensoriel, lisible, mémorisable, évocateur et d’un point de vue juridique : original, distinctif, déposable et disponible. Le rôle stratégique de la marque tient sur 3 facettes : la notion de capital, la structuration de son offre et le rôle de fil directeur de développement.
Vidéo 2
L’enjeu des entreprises, c’est de devenir la marque préférée (love brand). Il y’a 3 types de marques fortes : la marque drapeau, aspirationnelle/statut, et la culte. Le mimétisme est important car je consomme, donc je suis. La confiance et la séduction sont deux piliers à travailler. La plateforme de marque permet de créer du sens, tout comme la création d’un lien avec le consommateur. Comment créer du sens ? Créer la fidélisation et la renforcer ? travailler la notoriété ?
Vidéo 3
Les 3 étapes pour créer une marque forte : construire une conscience collective de l’identité de marque, transmettre l’identité de la marque aux collaborateurs et enfin communiquer l’identité de la marque aux consommateurs. Une marque qui porte des valeurs est humanisée = anthropomorphisme = important pour la relation avec les consommateurs. Les focus groupe permettent de révéler les emblèmes, les signes, la personnalité et l’idéologie de la marque = identité. Emblèmes = produit qui représente le mieux l’idéologie et les valeurs de la marque. Les signes = identité visuelle, représentation symbolique. La personnalité = traits de caractère, la marque est un personnage. L’idéologie = valeurs et raison d’être.
Vidéo 4
Il ne faut pas confondre la marque avec l’entreprise et la marque n’est pas un produit. Il faut créer une expérience client différenciante par rapport à ses concurrents. On doit d’abord se demander en quoi nous comme indispensable et comment l’être encore plus. Ensuite, on observe notre cible/nos clients. Enfin, il ne faut pas arrêter de rappeler sa différence au consommateur (ne pas tenir sa différenciation pour acquise). Si notre marque est en perte de vitesse, on doit se renseigner sur les coûts pour reconstituer l’image de marque. La marque peut avoir une architecture de haut en bas, à deux ou à trois niveaux.
Vidéo 5
La marque est stratégique avec la notion de capital et la notion de gamme. La stratégie est de réduire le nombre de marques pour devenir une marque forte. Cette stratégie peut poser deux problèmes : un problème de dépendance qui peut mettre l’entreprise en difficulté ainsi qu’un souci de dilution de valeur. Il faut donc faire des arbitrages en termes d’efficacité pour mesurer les impacts. Parmi les stratégies, il y’a la marque générique caution avec des marques prénoms, la marque gamme et la notion de co-branding. Il y a un arbitrage à faire entre la réduction du nombre de marque mais aussi la cohabitation de circuits de distributions. Le territoire de marque est constitué du noyau central qui doit rester stable et d’un système périphérique évolutif. -
Etudiants CampusVidéo 1 : Stratégie de marque
La stratégie de marque est le nouveau capital de l’entreprise. La marque veut être originale et se différencier. Cependant elle cherche à se protéger d’un point de vue juridique.
Les entreprises rencontrent plusieurs difficultés. En effet, il s’agit de trouver un nom de marque disponible, créatif et innovant.
Entre une marque et un nom de domaine, en théorie, la marque doit l’emporter. Le nom de marque peut devenir allié, s’il est gourmand (dans le domaine alimentaire) ou sensoriel par exemple.
Un bon nom de marque doit être mémorisable, lisible dans tous les pays, évocateur, distinctif, original, et surtout déposable juridiquement.
La marque joue un double rôle tactique et stratégique. Concernant le rôle tactique, la marque doit jouer plusieurs rôles, permettre l’identification, être personnalisé, être distinctive par rapport aux concurrents. Finalement elle à un rôle de garantie, c’est en quelque sorte une promesse de la qualité. Concernant le rôle stratégique : la marque est au cœur des décisions marketing concernant la structure de l’offre, la fidélisation ou encore la différenciation par exemple.
Vidéo 2 : Stratégie de marque 2
Dans la vidéo, on apprend que l’objectif est d’avoir avoir une marque forte. En effet cette dernière aura des avantages car elle sera en position de force, et elle aura une meilleure efficacité commerciale. Elle a également un rôle de transition. Dans une logique de pérennité, c’est la marque qui incite au rachat du produit, attire l’attention et fidélise les clients.
Cependant, la notoriété seule n’est pas suffisante. Il faut devenir la marque préférée, créer un contenu d’attachement.
La marque à rôle d’indicateur de garantie, de satisfaction. On distingue les marques drapeau (faire adhérer au travers de valeurs), les marques aspirationnelles (on cherche à projeter les individus vers une personne type), et les marques culte (j’adore, je suis fan)
Il faut adapter le contenu. On favorise les contenus divertissant pour les jeunes, les contenus informatifs pour les seniors. On cherche à créer un lien avec la communauté sachant qu’on est dans l’ère de l’expérimentiel
Vidéo 3 : Stratégie de marque 3
Dans cette vidéo on explique le concept de marque ombrelle. C’est quand on a une marque pour plusieurs produits. Il faut veiller à conserver une cohérence et une logique au sein des différents produits commercialisés sous la marque ombrelle. Il convient de faire des arbitrages en termes d’efficacité.
On parle également de la marque générique. C’est une sous-marque d’une marque connue.
On aborde la stratégie de marque gamme, avec un univers fort, et un flux renouvelant fréquent.
Finalement on retrouve le cobranding. Le co-branding définit l'association de deux ou plusieurs marques/entreprises.
On parle de territoire de marque, qui est constitué de 2 niveaux. Un noyau central à ne pas détruire et le périphérique qui permet l’évolution.
Vidéo bonus 1 : L’identité de la marque
Pour construire une marque forte : il faut définir l’identité de marque, construire une conscience collective puis communiquer dessus. Il s’agit de transmettre l’histoire de la marque. Celle-ci doit être dynamique, elle doit évoluer. C’est le fil rouge de la création de la marque. Une marque qui porte des valeurs sera humanisée et aura une meilleure relation avec le client. Pour ça on fait parler les collaborateurs sur la marque. Ensuite on reprend les idées clés par exemple les emblèmes, les signes, la personnalité et enfin l’idéologie.
Vidéo bonus 2 : Réussir sa stratégie de marque
Il faut distinguer le produit de la marque et la marque de l’entreprise. Le client doit avoir le repère de la marque au moment de l’achat. La relation avec le produit peut faire basculer à l’achat. L’enjeu est de créer une expérience cliente différenciante par rapport aux concurrents.
Ensuite il faut se demander en quoi je suis indispensable ? Et que faire pour devenir encore plus indispensable ? Pour cela l’observation est déterminante. On regarde et analyse comment vivent les individus, comment ils utilisent nos produits, etc.
Pour être une marque forte il faut se remettre en question régulièrement et se renouveler constamment. Lorsque la marque est en baisse, il faut commencer par réfléchir au coût de reconstitution de la marque dans le cas ou en envisage de la supprimer ou de la transformer.
Pour couvrir le marché, l’entreprise doit disposer de suffisamment de marque. -
Membre d'orVidéo 1 : élaboration de la stratégie de marque
Il s’agit du nouveau capital de l’entreprise. La marque prend le relai comme capitalisation —> valeur marketing et juridique. On cherche à être original et se différencier, tout en se protégeant juridiquement parlant.
La difficulté : trouver un nom de marque disponible : réfléchir et se renseigner : créer et innover. Un brevet peut coûter plus cher qu’un dépôt de marque.
Nom de domaine ou marque ? La marque l’emporte en théorie. Le nom de marque peut être un allié : il doit être sensoriel, gourmand (pour l’alimentaire). La marque a un rôle tactique : jouer plusieurs rôles, identification, facilité, personnalisation, distinction par rapport aux concurrents et un rôle de garantie (promesse de la qualité)
Quelles sont les caractéristiques d’un bon nom de marque : lisible dans tous les pays, mémorisable, évocateur, originale, distinctive, déposable juridiquement. La marque a aussi un caractère stratégique : au cœur des décisions marketing : consommateur, différenciation, innovation, structure de l’offre, fidélisation…
Vidéo 2 : stratégie de marque
L’objectif : avoir une marque forte : elle aura des avantages : position de force + efficacité commerciale (touché par les pubs, les actions marketing) Rôle de transition : attire l’attention, fidélise le client, rachat du produit —> logique de pérennité.
Mais la notoriété ne suffit pas : l’enjeu est de devenir la marque préférée « lovebrand » : on doit créer un contenu d’attachement. Le pouvoir de la marque est sur la nocivité et la force, rôle d’indicateur de garantie, de satisfaction, mais aussi un contenu positif : marque drapeau (adherer grace à des valeurs), aspirationnel (derrière on projette les gens vers une personne type), culte (j’adore, je suis fan)
—> s’engager sur la notion de qualité devient de plus en plus flou, les valeurs de la marque créent du sens. Notion de projection : comment le faire à des prix accessibles ? Vers quelle personne se projeter ? On travaille sur la confiance et sur la séduction : on rassure et on donne envie.
Ensuite, on travaille sur la plate-forme, l’identité et la culture de la marque. l’associer à son cœur de compétence, son prisme d’identité (physique, personnalité, culture, mentalité)
On identifie les différents canaux de communication, quels outils digital : les points de contact, les moments (calendrier) —> créer un univers
Le contenu : publication correspondant à tout le monde, le divertissant pour les jeunes, l’informatif pour les seniors : on créé un lien, une fusion avec la communauté —> ère de l’expérimentiel
Vidéo 3 : stratégie et structuration de marque
Absence de marque, MDD, marque par produit. La marque ombrelle : 1 marque pour plusieurs produits. Il faut conserver une logique dans les différents produits commercialisés. Il faut faire des arbitrages en terme d’efficacité. Vers où peut-on aller sans détruire le capital ?
Il y a la marque générique : sous marque d’une marque connue + personnalité possible. Parfois, il y a des logiques étranges.
Ensuite, la stratégie de marque gamme, univers fort, avec un flux renouvelant fréquent. Enfin, le cobranding, communication de promotion d’une autre marque, autre produit créé en collaboration. Multi canal ou omni canal ?
Le fil directeur de développement : notion de typicalité d’une marque, lien étroit entre la marque et la catégorie de produit. Être une marque forte ne veut pas dire être typique. Peut-on tout lancer au sein d’une marque ?
Le territoire de marque : 2 niveaux : noyau central à ne pas détruire et le périphérique permettant l’évolution. Quels sont les produits typiques potentiels et ceux à ne pas toucher ?
Vidéo bonus : identité de la marque
Comment construire une marque forte : définir l’identité de marque, construire une conscience collective puis communiquer dessus. On transmet l’histoire de la marque, dynamique et non pas constante : elle évolue, elle est le fil rouge de la création de la marque. Une valeur : une croyance guidant les comportements, on utilise des concepts psychologiques, car on considère la marque comme un être humain. Si la marque porte des valeurs, elle sera humanisée et aura une relation avec le client. En général, on fait parler les collaborateurs sur la marque et on ressort les idées notamment sur les emblèmes (produit typique de la marque), les signes (visuel, ce qui la représente), la personnalité (les traits de caractères de la marque, tel un humain) et l’idéologie (les valeurs, la raison d’être de la marque).
Vidéo bonus : comment réussir sa stratégie de marque ?
On distingue le produit de la marque et la marque de l’entreprise. Au moment de l’achat, le client doit avoir le repère de la marque (grâce à sa stratégie). La relation avec le produit peut faire basculer à l’achat. Il faut créer une expérience cliente différenciante par rapport aux concurrents : quelle narration a la marque ?
En quoi suis-je indispensable et comment le devenir encore plus ? On observe comment vivent les gens, comment ces derniers utilisent les produits. L’observation est déterminante. Enfin, on rappelle au client quelle est la véritable force et valeur ajoutée de notre produit : comment les fidéliser, les attirer, les faire revenir… La marque forte se remet en question régulièrement et se renouvelle beaucoup. D’ailleurs, lorsque la marque est en baisse, on réfléchi d’abord au coût de reconstitution de la marque si on envisage de la supprimer ou la transformer. Il faut disposer d’un nombre nécessaire de marque dans le portefeuille de notre entreprise pour couvrir le marché.
Seance 6
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isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 25 mars 2021 02:00 PM Paris
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Membre d'orvidéo 1 positionnement marketing : cartes perceptuelles de positionnement : comment le produit est-il perçu : voir l'importance accordée aux attributs différents du produit + comment le produit est-il évalué par rapport aux autres marques ? On va évaluer et identifier les axes de différenciation, la concurrence de la marque, aux yeux du consommateur. on identifie les dimensions différenciatrices. le produit idéal est le produit attendu par le consommateur. + mapping concurrentiel pour recenser la concurrence, notre légitimité sur le marché..
Vidéo 2 positionnement catégoriel : trouver sa catégorie, puis s'orienter par la suite sur sa différenciation. il faut que le consommateur nous associe à une catégorie de produit précise pour l'intéresser. ou on peut aussi se rattacher à ce qui existe : en quoi notre marque est elle légitime ? OU nouvelle catégorie : avantage concurrentiel. certaines marques sont devenues elle même des catégories de produits.
vidéo 3 élaboration : quelle stratégie mettre en oeuvre ? quel positionnement mis en avant ? soit propre à notre entreprise, soit problème marketing : il faut tenter de le résoudre et de ce fait on suit une stratégie d'amélioration. ou resegmentation du positionnement : revoir la cible. enfin, faire attention au design qui peut être une fausse force. + jouer sur la différenciation : catégorielle, stratégie, atouts -
Membre d'orVidéo 1 :
Positionnement catégoriel, nouveau positionnement qui n’est pas encore systématiquement utilisé par les entreprises. On positionne son produit, sa marque dans des catégories existantes. L’entreprise peut aussi créer une nouvelle catégorie de produits si elle ne se retrouve pas dans les catégories existantes. Cette création n’est pas simple puisque le client peut ne pas s’ancrer dans l’esprit du consommateur.
Vidéo 2 :
Pour se démarquer des autres marques, de la concurrence, il faut identifier les axes de différenciations, quelles images sont perçues par les consommateurs, quelles sont leurs critères. Quels outils utiliser pour réussir ce positionnement.
Vidéo 3 :
En cas d’échec du positionnement, les marques peuvent réaliser une nouvelle segmentation en repensant leur stratégie. Le problème d’un prix jugé trop élevé ne se résout pas qu’avec une simple réduction, il faut trouver des solutions pour faire accepter ce tarif : changer sa cible, trouver de nouveaux arguments de différenciation grâce aux options comme a pu le faire Smart. -
Membre d'orVideo 1 :
L'important pour qu'un produit fonctionne c'est de definir avant toute chose son positionnement c'est ce qui va déterminer son approche avec le consommateur. Une entreprise doit donc savoir le classer dans une catégorie logique ou si il n'y a aucune catégorie correspondante en créer une. C'est une étape clé.
Vidéo 2 :
Ensuite une des étapes les plus importante c'est la différenciation. Pourquoi le consommateur va t il choisir ton produit et pas celui d'un concurrent ? Il faut etre près a faire face à de multiples marques concurrentes. Et pour cela l'entreprise doit investir dans des outils et cela marque parfois une limite. Cependant l'analyse est cruciale car elle permet de savoir sur quels critères les consommateurs accordent une importance.
Video 3 :
Pour finir l'essentiel vient quand même de la bonne stratégie Marketing du produit et celle ci dépend du raisonnement de la marque. -
Etudiants CampusVidéo 1 :
Le positionnement repose sur deux principes :
- positionnement catégoriel (dans quelle catégorie le produit/ la marque est mis(e) ? si nouvelle catégorie : marque refuge)
-positionnement marketing .
Vidéo 2 :
Le positionnement marketing doit permettre à la marque de se différencier aux yeux des consommateur. Pour cela il faut identifier les axes de différenciation et s’intéresser aux critères de différenciation que les clients apprécieront.
Vidéo 3 :
Les entreprise doivent réaliser une re-segmentation si leur positionnement n’est pas adapté. Cela implique de rechercher une nouvelle cible de consommateurs. Il faut s’inspirer du cas Nesfusion. -
Membre d'orVidéo 1 :
Démarche de positionnement : fait appel à la perception du consommateur et repose sur deux étapes successives : positionnement catégoriel et positionnement marketing.
Positionnement catégoriel : démarche en 2 étape : point de conformité et être légitime d’une catégorie de produit puis s’intéresser à se différencier. Le consommateur met des produits dans des cases/catégorie et dans quelle catégorie la marque est mise et où on souhaite être. Deux options pour l’entreprise : se rattacher à une catégorie de produit existante ou créer une nouvelle catégorie. La marque la première a communiquer sur cet catégorie devient la marque refuge.
Pour être légitime il y a un benchmark. Pour évoluer, le consommateur met en case des produits substituants et de plus en plus on est dans un univers de référence dans des produits complémentaires. Seulement une fois que le produit est dans l’esprit du consommateur, on peut pense à comment se différencier par rapport aux autres marques
Vidéo 2 :
Positionnement marketing : l’objectif est de déterminer une source de différenciation qui sera perçu et valorisé, être le préféré du consommateur.
Comment analyser le positionnement marketing ?
Pour le consommateur on utilise les outils statistique onéreux, (cartes perceptuelles de positionnement).
On a l’identification d’axes de différenciation. Quand on regarde l’attente idéale du consommateur, ca permet d’identifier l’écart entre positionnement Percu et Recherché et la recherche du produit idéal pour un groupe de consommateur.
Si on ne peut pas s’offrir ses démarche, il faut s’intéresser au mapping concurrentiel.
Une fois qu’on sait qu’on peut se différencier, on cherche les pistes de différenciation. Un bon positionnement est clair et simple, différenciateur, important, défendable, clair, évolutif et crédible. Il y a toujours un écart entre ce qu’on veut faire passer et ce qui est perçu donc des vérifications sont à faire.
Vidéo 3 :
Pour résoudre les problèmes marketing il faut penser à une stratégie de positionnement en prenant en considération les deux aspects vu précédemment. Les marques peuvent réaliser une re-segmentation, et réfléchir à une stratégie de différenciation qu’elles devront adopter en fonction de la maturité du marché. Le cas Nesfusion est un bon exemple de ce cas. Le problème du prix est a régler le plus rapidement sans quoi le produit ne fonctionnera pas. -
ExplorateurVidéo 1 : Avant d’entrer sur un marché, l’entreprise doit définir un positionnement a son produit, cela passe tout d’abord par le positionnement catégoriel puis marketing. Elle peut choisir un positionnement catégoriel existant ou nouveau.
Vidéo 2 : En ce qui concerne le positionnement marketing : pour se démarquer de la concurrence/autres marques il faut déjà l’identifier, et identifier les axes de différentiations (du point de vu du consommateur et de l’entreprise). Quelle est l’image perçue par les consommateurs, sur quels critères se basent ils et devons nous nous baser, via quels outils…
Vidéo 3 : Il est possible que le positionnement ne soit pas adapté, alors il faut souvent avoir recourt à la re-segmentation car l’entreprise doit se démarquer, trouver son utilité, son axe de différenciation vis-à-vis de la concurrence pour exister. Nesfusion par exemple. -
Membre d'orLa démarche de positionnement fait appel à la perception du consommateur
Elle est composé de 2 étapes : le positionnement catégoriel et marketing
Cette démarche nécessite plusieurs étapes :
1ère étape : Essayer d’être légitime dans une catégorie de produit
2ème étape : Se différencier
VIDEO 1 :
Positionnement Catégoriel :
Positionnement récent, pas systématique pour les entreprises
Les consommateurs pensent en catégorie de produit, si le produit n’est pas associé à une catégorie bien précise, il ne va pas être pris en compte par celui-ci.
L’entreprise va devoir soit rattacher le produit à une catégorie existante, ou soit créer une nouvelle catégorie dans l’esprit du consommateur (compliqué : on ne sait pas comment réussir à la créer mais on sait ce qu’il faut maîtriser pour ne pas échouer).
Pour qu’il y ait une catégorisation, il faut une rupture du comportement du consommateur.
Lorsqu’une entreprise arrive à créer une nouvelle catégorie, au début elle se crée un avantage concurrentielle qui la différencie de ses concurrents (Kleenex, Caddie, Walkman).Cependant, ultérieurement pour la vie de la marque, cette avantage devient compliqué à gérer car elle ne se différencie plus de sa catégorie de produits. Cette création de produit doit être associée à un nouveau de type de design, (tartinade : mauvais packaging).
Historiquement, les consommateurs mettaient plutôt des produits substituables dans la même catégorie. Néanmoins, les consommateurs désormais établissent une catégorie avec des produits répondant à un même besoin
VIDEO 2 :
Positionnement Marketing :
Objectif : déterminer une source de différenciation qui sera perçue et valorisée par les consommateurs (créer de la préférence)
L’angle consommateur :
Les cartes perceptuelles de position = représentation statistique de la présentation que les consommateurs ont des marques et de leur positionnement
Ces cartes vont se baser sur 2 types de question afin de savoir :
- l’importance accordée aux critères de différenciation des consommateurs
- l’image perçue par rapport à ces critères de la marque par les consommateurs
L’utilité de ces outils va permettre de pouvoir identifier la véritable concurrence aux yeux des consommateurs ou celles auxquelles les consommateurs accordent leur importance, détecter des niches. Ces études coûtent chers en échantillonnage ou en démarche et sont souvent faites à coût partagé pour être accessible aux entreprises.
Quelles sont les sources de différenciation possible ? un bénéfice recherché, un ingrédient, un conditionnement, un type de cible (Halal), une origine, l’expérience, une technologie …
Il va falloir identifier ses sources (canevas stratégique), Il faut être créatif afin de ne pas faire comme la concurrence (territoire vierge pour se positionner).
Avec le losange de Kapferer, l’entreprise va confronter son choix de positionnement par rapport à sa cible en fonction des bénéfices qu’elles propose en fonction de sa situation. , ses concurrents proches. Le triangle d’or du positionnement va permettre de confronter les attentes du consommateur, les atouts du produit proposé par l’entreprise par rapport aux positionnement des concurrents (forme d’interaction)
Un bon positionnement doit être clair et simple (point de difficulté) perçu et valorisé, défendable et crédible et aussi évolutif.
VIDEO 3 :
Il faut réfléchir à une stratégie de positionnement, pour cela il faut garder en tête les deux questions qui permettent de déterminer l’importance accordée aux critères de différenciation des consommateurs et l’image perçue par rapport à ces critères de la marque par les consommateurs.
SMART (taille = fonds de commerce, design =fausse force marketing , coffre = critère par rapport à la taille, prix = problème marketing) : ces critères amènent à réfléchir sur différentes stratégies de positionnement (accompagnement, amélioration, générique…).
Lorsque le positionnement n’est pas adaptée, il faut donc faire une resegmentation afin de trouver une cible où le problème marketing n’existe pas.
L’entreprise doit faire un choix de stratégie avec ces différentes réponses. (catégoriel, de suiveur, de l’atout…).
Il faut que l’entreprise trouve un positionnement stratégique globale afin de trouver sa place sur le marché et sa différence. -
Etudiants CampusVIDEO 1 :
La démarche du positionnement fait appel à la perception du consommateur. Pour ce faire, elle repose sur 2 étapes successives : le positionnement catégoriel et le positionnement marketing.
Le positionnement catégoriel se fait en 2 étapes :
1ère étape : essayer de trouver des points de conformité d’une catégorie de produits.
2ème étape : se différencier.
Le consommateur met les produits dans des cases donc l’entreprise doit savoir dans quelle catégorie de produit le consommateur la perçoit mais également dans quelle catégorie l’entreprise se voit. Sans cette démarche, le consommateur ne donnera pas d’intérêt à l’entreprise.
VIDEO 2 :
Le positionnement marketing est le fait de déterminer une source de différenciation et se fait sous différents angles, l’angle consommateur (limite car coûte cher) et l’angle entreprise. Une entreprise pour prospecter dans le temps, a tout intérêt à se différencier de ses concurrents, susciter la préférence et amener le consommateur à choisir notre marque plutôt qu’une autre. Pour ce faire, l’entreprise doit accorder de l’importance à deux facteurs : les critères de différenciation aimés par les consommateurs et l’image perçue (carte perceptuelle, mapping concurrentiel).
VIDEO 3 :
Il faut réfléchir à une stratégie de positionnement. Pour ce faire, 2 raisonnements s’offrent à nous : quelles sont les sources de différentiation auxquelles le consommateur accorde de l’importance et sur lesquelles il perçoit des différences entre les marques et comment il perçoit la marque et les marques concurrentes.
Lorsqu’on observe un problème marketing, la re-segmentation est une solution, il s’agit de rechercher une nouvelle cible pour laquelle le problème marketing n’existe pas. Différentes stratégies sont possibles : de l’atout, de suiveur, de l’océan bleu etc. -
Membre d'orVidéo 1 : L’idée principale est celle du positionnement catégoriel. Avant toute nouvelle sortie de produit, l’entreprise doit définir ce positionnement. Il y a deux possibilités : rejoindre une catégorie existante pour ce produit, pour ensuite se différencier (cela n’est pas toujours facile, mais ici le consommateur n’est pas dérouté), ou bien créer sa propre catégorie, une opération risquée mais avec plus de potentiel de développement.
Vidéo 2 : Les entreprises doivent ensuite définir leur positionnement marketing. Elles doivent identifier des axes de différenciation pour leur produit. Cela peut se faire en analysant les critères de différenciation adoptés par les consommateurs, leur perception de notre marque par rapport à la concurrence. Cette analyse n’est rendue possible qu’à travers une variété d’outils statistiques, qui sont très coûteux pour les entreprises, et des études, ce qui peut limiter la définition du positionnement. On a alors accès à d’autres outils tels que le losange du positionnement ou le triangle d’or du positionnement. Pour le consommateur, le positionnement doit être clair, simple, perçu, valorisé, défendable, crédible, irrésistible et évolutif.
Vidéo 3 : Les problèmes marketing doivent être résolus avant de mettre en place une stratégie d’accompagnement. Pour cela, les marques peuvent réaliser une re-segmentation, et réfléchir à une stratégie de différenciation qu’elles devront adopter (catégoriel, de suiveur, de l’atout, comparative, de l’océan bleu, du maillon faible). C’est une stratégie qui dépend des sources de différenciation qui présentent de l’importance chez les consommateurs, mais aussi de leur perception et évaluation de la marque. Le cas Nesfusion est une illustration de ce problème de positionnement. -
Membre d'orVidéo 1 : avant de créer un nouveau produit il est important de bien définir dans quelle catégorie nous voulons inscrire notre produit. Soit nous pouvons choisir une catégorie déjà existante ou alors en créer une nouvelle.
Vidéo 2 : d'un point de vu marketing
consommateur : importance de la différenciation et quels sont leurs critères importants. Il est important de connaitre la véritable concurrence du point de vu des consommateurs, et quels sont leurs idéaux.
entreprise : lister les concurrents et afficher leurs sources de différenciation possibles. Après cela, il est alors important de se questionner sur un nouvel axe de différenciation.
Vidéo 3 : Il faut réfléchir à une stratégie de positionnement en fonction des deux aspect vu dans les vidéos précédentes.
Il faut réfléchir à ce qui pourra être propre à notre produit et mettre en avant quelque chose qui sera un avantage distinctif.
Il faut également, essayer de régler le problème du prix avant toute chose car si ce problème n'est pas réglé personne n'achètera votre produit.
Il faut aussi étudier la cible en se positionnant sur des gens pour qui notre produit serait idéal. Il faut re segmenter.
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Séance 5
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isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 16 mars 2021 09:00 AM Paris
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Séance 4
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Sujet : L3FI
Heure : 8 mars 2021 09:00 AM Paris
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Séance 3
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Sujet : L3FI
Heure : 1 mars 2021 09:00 AM Paris
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Etudiants CampusPrésent.
Je me suis trompé de numéro de séance, et me suis inscrit présent sur la séance 2.
Mais j'étais bel et bien présent pour la séance 3.
Séance 2
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isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 2 févr. 2021 09:00 AM Paris
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Code secret : 600065
Pour préparer la séance , regardez les vdeos du cours vision marketing du produit ..
Indiquez en commentaire vidéo .. les 3 infos qui vous ont marquées .
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Etudiants CampusVidéo 1 : IL existe 3 parties pour le produit : Noyau(cœur), Générique, Meta produit. Par le noyau, on cherche à satisfaire un besoin d'un consommateur notamment grâce à la pyramide de Maslow. Les freins existent pour les besoins, qui sont relatifs, mais qui peuvent être réduits par le marketing.
Vidéo 2 : Notion de design dominant : ensemble des fonctionnalités minimales à satisfaire pour être crédible aux yeux des consommateurs, elles sont évolutives. Il s’agit des besoins minimaux du consommateur envers un produit. Attention aux noms des marques qui peuvent prendre le nom d’une des notions dominantes mais cette notion peut passer au second plan donc bien réfléchir lors de l’entrée sur un marché. Ensuite penser à une fonctionnalité supplémentaire qui peut apporter un plus et qui va se différencie des concurrents. Enfin, travailler la fonctionnalité perceptuelle, c’est-à-dire valoriser le produit, la première perception très importante pour le consommateur.
Vidéo 3 : Le méta produit, tout ce qui est autour d’un produit et qui constitue une offre. (Produit + Service). Quand on peut plus se différencie par le produit on travaille le méta produit. Des services pour rassurer (enlever des freins) puis des services pour créer de la valeur.
L’autre élément, est l’offre globale : un produit intégré dans une offre complète, une solution complète à un besoin (origine BtoB). Le consommateur prêt à payer plus cher pour ce type de produit. Cette offre globale est constituée de produits supports (indispensable à la consommation du produit, fourchette pour salade) et des produits complémentaire (accessoires qui viennent enrichir l’offre). Frein existant si on ne maitrise pas la problématique du produit support, enjeu pour rendre le marché captif (Nespresso). Notion de verrouillage donc bien gérer son produit support, très important pour la compréhension du marché. L’expérience modèle, de nombreux services qui évoluent en abonnements et même une bascule vers l’expérience. -
Membre d'orVidéo 1.
Besoins.
Perception de l’offre
Ciblage des consommateurs.
Vidéo 2 :
Design
Attrait
Réputation
Vidéo 3 :
Produit noyau
Métaproduit
Revenus (si grande valeur ajoutée) -
Etudiants CampusVidéo 1 : l'offre doit répondre à une attente/un problème avec des fonctionnalités, des solutions et un metaproduit
La pyramide de Maslow nous qu'il y a différentes familles de besoins.
En marketing, on dira qu'un produit répond a un besoin fonctionnel ou d'épanouissement.
Il y a de nombreux freins correspondant aux besoins. grâce au marketing on depassera ses freins en valorisant le consommateur.
Il faut choisir dans quelle famille de freins on veut positionner notre produit.
Vidéo 2 : design dominant : ce sont les fonctionnalités que le produit doit satisfaire pour être crédible aux yeux des consommateurs.
Pour éliminer un avantage concurrentiel d'un concurrent, on banalisé cet avantage.
Pour intégrer un produit il faut se demander quelles sont les fonctionnalités qui rentre dans le désigne dominant.
C'est qu'ensuite qu'on peut réfléchir à une fonctionnalité supplémentaires pour se différencier des autres.
Il faut que le produit donne une bonne impression aux consommateurs pour se vendre.
Vidéo 3 : le méraproduit est une offre a part entière. C'est ce qu'il y a autour du produit. C'est un élément qui permet de se différencier des concurrents.
Il peut également s'agir de services associés. Ex : SAV
Le méta produit représente une valeur supplémentaire de l'offre commerciale en la valorisant et en incitant à l'achat. -
Membre d'orVidéo 1 : L’élaboration de l’offre ne doit pas se résumer à créer un produit sans penser au préalable aux besoins auxquels il doit répondre. Les consommateurs ont des besoins spécifiques (Recherche d’estime, de sécurité, etc), il faut donc déterminer lesquels pour que notre offre réponde à ces attentes à travers les différentes fonctionnalités proposées. Ce qui compte, c’est bien la perception des consommateurs de l’offre, et pas de la réalité supposée. Il faut en ce sens identifier notre consommateur ciblé pour s’adapter par rapport à ses attentes. S’il y a des blocages relatifs aux besoins (le produit est il vraiment utile?), c’est au marketing de les effacer à travers une communication importante pour éviter des pertes.
Vidéo 2 : Lorsqu’un produit arrive sur le marché, son design dominant est primordial (il s’agit des fonctionnalités basiques apportées par des produits du même type). Les consommateurs s’attendent en effet à retrouver ces fonctionnalités d’un produit à un autre similaire, donc même si le notre se distingue par d’autres aspects, on doit veiller à conserver l’attrait principal du produit. C’est aussi un moyen pour la marque d’établir sa réputation comme nouvel entrant fiable. Autrement, on risque de rebouter le consommateur. Pour certains produits, le design dominant couvre la plupart des fonctionnalités existantes, d’où l’importance d’apporter des fonctionnalités neuves et innovantes qui vont permettre à la marque de se distinguer des autres.
Vidéo 3 : Les biens ne se distinguent pas tout le temps par leurs fonctionnalités. C’est ici qu’entre en jeu le métaproduit. Il s’agit de tous les compléments qui vont s’ajouter à l’offre pour l’étoffer, l’enrichir et la rendre plus attractives pour les consommateurs et retirer les éventuels freins à l’achat. On retrouve alors des services (mois d’abonnement offerts), des garanties, d’autres sous-produits (entretien du produit de base, produits agissants en compléments comme un bras de micro)... Il ne s’agit pas pour l’entreprise de les rentabiliser tout le temps, car ils servent souvent à améliorer les ventes du produit noyau, mais le métaproduit peut générer des revenus importants s’il y a une grande valeur ajoutée. -
Membre d'orvidéo 1 : la conception d'un produit comporte 3 étapes importantes distinctes : le noyau, le générique et le métaproduit.
En ce qui concerne le produit noyau, il représente ce que le consommateur achète, il est donc important de bien comprendre les besoins des consommateurs et d'en définir préalablement les possibles freins afin de les prévenir. La publicité peut être un des moyens de prévenir les freins.
Il est important de choisir dans quelle famille de besoin on va placer notre offre, et une même offre peut elle meme être associée à plusieurs besoins. Certains besoins sont plus généralistes que d'autres comme le besoin d'appartenance. Cependant, il est important de savoir quel est le besoin qui va être le plus interessant pour notre offre.
vidéo 2 : il est nécessaire d'étudier le design dominant de l'offre. Ce sont les attentes minimales du produit et il est donc important de savoir quelles sont les fonctionnalités minimales et étoffer notre offre autour de ça. Sans le design dominant, un produit sera surement rejeté par les consommateurs. Penser une fonctionnalité supplémentaire peut être un moyen de différenciation
vidéo 3 : le métaproduit est ce qui permet au produit de se différencier de ses concurrents. Cela peut être par exemple un service supplémentaire (pour rassurer ou créer de la valeur supplémentaire) ou une offre globale (produits supports, qui peuvent permettent de limiter les freins et produits complémentaires, pas forcément nécessaires). Cela peut être une source de vente additive, donc il faut se questionner sur ses produits supports. -
Etudiants CampusVidéo 1 : Le produit comprend 3 dimensions, à savoir le noyau, le produit générique et le méta-produit, qui doivent et ont pour objectif de répondre à la demande. Ces besoins se reflètent également dans la pyramide de Maslow. Cependant, certaines limites peuvent apparaître, ce qui nuit au succès du produit et à de bonnes ventes. Par conséquent, il est indispensable d’évaluer les divers freins potentiels auxquels le produit peut être confronté afin d'adapter l'offre aux besoins des consommateurs.
Vidéo 2 : La seconde étape consiste à choisir le design dominant, qui correspond à la fonctionnalité la plus basse attendue par les consommateurs. C'est sans précédent, mais cela génère de la crédibilité au produit. De plus, il peut garantir des objectifs et s'assurer que la marque est prise en compte, en particulier pour ceux qui sont nouveaux sur le marché. Après avoir vérifié la conception principale, d'autres fonctions peuvent être ajoutées. Afin de finaliser cette étape, il est indispensable d’étudier la fonction de perception du produit, cela correspond à la première impression qu’a le consommateur sur ce dernier.
Vidéo 3 : Après avoir examiné les besoins des consommateurs et la conception de pointe, nous devons maintenant nous attarder sur le méta-produit. Il se compose de tout ce qui entoure le produit. C'est ce qu'on appelle ainsi l’offre. Cette dernière peut se présenter sous la forme de services qui rassurent les consommateurs (par exemple, une garantie) et créent de la valeur. Aussi, elle peut voir le jour sous une forme plus globale, comprenant le produit support et les produits subsidiaires. Pour finir, l'offre repose aussi sur une « offre commerciale » (promotion, etc…) et l'expérience, concept extrêmement important pour favoriser les achats. -
Membre d'orLa notion de besoin est au centre de la conception du produit, le consommateur a plusieurs besoins à combler qui vont du besoin fonctionnel au besoin d'épanouissement, l'objectif est de faire correspondre la notion de besoin à la cible de consommateur. Si il persiste des réserves par rapport au besoin, le produit aura du mal à gagner en popularité.
Le design dominant n'est pas à négliger : un nouvel entrant doit respecter les codes du marchés imposé par les acteurs du marchés que sont les consommateurs et marques dominantes. Même si son nouveau produit apporte quelque chose de différent qui peut répondre à d'autres besoins, il doit rassurer sur son efficacité dans le "cahier des charges" du marché.
Le metaproduit constitue ce qui est autour de l'offre, c'est le produit qui va être ajouté au produit noyau. Le produit noyau peut être vendu sans son metaproduit, le metaproduit n'a souvent que très peu d'utilité sans son produit noyau. Ce bien ou ce service permet au consommateur de différencier les offres : une garantie, produit complémentaire (Windows sur un ordinateur,...), une livraison.
Ces metaproduits permettent de lever des freins chez le consommateur ou permettent de vendre plus cher.
Le metaproduit n'est pas forcement source de bénéfice pour l'entreprise. -
Membre d'orVidéo 1 : Ce qui compte ce n’est pas la réalité mais la perception qu’a le consommateur. Pour pouvoir contrer les freins à l’achat, il faut résonner avec trois niveaux : le consommateur cible, le produit noyau et l’intérêt du produit. Il faut savoir quel est le problème du consommateur.
Vidéo 2 : Après avoir éclaircie le besoin auquel on veut répondre il faut savoir quelles sont les fonctionnalités minimales à satisfaire. Il faut avoir un design dominant pour les nouveaux entrants, de cette manière la marque se distingue des concurrents. Il est également très important de rassurer le consommateur et de laisser une bonne image.
Vidéo 3 : Le méta produit c’est tout ce qu’il y a autour du produit et qui constitue une offre. C’est une manière de se différencier pour la marque. (ex : garantie, conseil sur une boite de céréales, etc.). On retrouve les services (rassurer et ajouter de la valeur supplémentaire) et l’offre globale (solution complète : BtoB). L’offre globale est une source de vente additive et parfois une évolution normale du marché. Le produit support est très important. Le méta produit c’est une recherche de valeur. L’offre inclue un produit noyau, un produit générique et un méta produit. -
Membre d'orVidéo 1 : Avant la conception d’un produit, il faut connaître les besoins des consommateurs à cibler et comprendre comment le consommateur va percevoir le produit. Cette perception est plus important que la réalité. Le besoin comprend le problème du consommateur. On cherche à savoir comment le consommateur va percevoir le produit. Un produit répond a un besoin fonctionnel ou d'épanouissement.
Pour contrer et détecter les freins à l’utilisation ou à l’achat du produit du futur consommateur, on utilise une stratégie marketing avec par exemple une bonne publicité peu être la solution. Ainsi on se concentre sur le consommateur cible, le produit noyau et l’intérêt du produit.
Vidéo 2 : Ici, on se concentre sur le design dominant. Ce sont les fonctionnalités minimales à prendre en compte pour être crédible ou du moins le paraître aux yeux des consommateurs. Il rassure la cible et mets en avant la compétitivité de la marque face aux nouveaux entrants. Ainsi, il permet l’ancrage dans le marché.
Une marque détermine ses fonctionnalités minimales. Ces fonctionnalités sont des freins pour les nouveaux entrants et pour l’innovation.
Une fois ces fonctionnalités validées, on peut ajouter des fonctionnalités supplémentaires et devenir concurrentiel.
Vidéo 3 : le metaproduit, recherche de valeur, est ce qui est autour du produit et qui constitue une offre. Il permet d’apporter une valeur additionnelle au produit en lui-même et le différencie de ceux des concurrents. Il peut également rassurer le consommateur par exemple grâce à de services tels que le SAV et créer une valeur supplémentaire.
Il peut aussi se présenter sous forme d’offre globale avec des produits supports ou complémentaires et permet une augmentation de la valeur en valorisant l’expérience et l’offre commerciale ainsi, incitant à l’achat. -
Membre d'orVidéo 1 :
Concevoir une offre : c’est comprendre comment le consommateur va percevoir ce produit qu’est-ce qu’il faut prendre en compte pour répondre à l’attente du consommateur.
En terme de marketing, on doit penser à la perception du consommateur de l’offre et non pas à la réalité. On peut faire un produit que l’on trouve très utile mais qui ne parle pas aux consommateurs. Une offre doit être conçu par le biais de plusieurs niveaux. Un produit ne peut pas plaire à tout le monde, il faut donc trouver le consommateur ciblé. Lorsque le consommateur est trouvé, il faut étudier le produit en lui-même avant de pouvoir créer une offre. Avec cette offre, il faut satisfaire un besoin de consommateur (Pyramide de Maslow)
Un besoin est défini comme un manque et peut s’exprimer comme une attente ou un problème à résoudre. Le produit va avoir une fonctionnalité qui va répondre à un besoin.
Lorsqu’il existe un frein pour satisfaire un besoin, le marketing va utiliser la communication (publicité) pour pouvoir réduire celui-ci. (travail de déculpabilisation)
Vidéo 2 :
Le besoin ne suffit pas, il faut se poser la question du design dominant.
Au niveau des fonctionnalités, le design dominant est l’ensemble des fonctionnalités minimales à satisfaire pour « être crédible » aux yeux des consommateurs. Le consommateur ne va pas porter d’importance à la marque s’il pense qu’il va satisfaire ses besoins. Il faut que le produit doit correspondre à un cahier des charges afin de pouvoir satisfaire les fonctionnalités minimales. Il faut que la marque, l’entreprise qui propose l’offre soit crédible afin de rassurer le client (Pampers/Nafnaf). En tant que le leader, le design dominant est une stratégie qui permet de contrer l’arrivée d’un nouveau entrant innovant, en banalisant les fonctionnalités de son produit.
Après être bien perçue par les consommateurs sur son design dominant, la marque ou l’entreprise peut se permettre de trouver une fonctionnalité différentielle pour son produit.
Le plus important : Travailler la perception du consommateur (solution techniques ou perceptuelles)
Vidéo 3 :
Le Métaproduit : tout ce qui est autour d’un produit et qui constitue une offre.
Ces éléments peuvent être plus important que le produit à la base notamment pour la différenciation, cela créer une valeur au produit. (ex : garantie).
Le Métaproduit est constitué de deux éléments : le service pour rassurer le consommateur ou créer de la valeur et l’offre globale (produit coordonné qui répond à l’entièreté du besoin du consommateur). L’offre globale est composé par un produit support (indispensable à la consommation du produit) et des produits complémentaires. Lors d’une guerre concurrentielle, le produit support peut être une source de verrouillage s’il y a une maîtrise de ce produit (VHS/V2000). En matière d’innovation, il faut y réfléchir longuement car c’est une évolution attendue d’intégrer ou de supprimer les produits supports (Salade avec l’intégration des couverts). Le service et le Métaproduit permet de créer de la valeur à un produit et donc de la rentabilité dans un secteur en crise.
Le consommateur ne veut pas qu’acheteur un produit mais surtout vivre un moment = expérience client. Une décision d’achat d’un client est souvent du à son émotion.
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Etudiants CampusJ'étais présente la première partie du cours et j'ai dû me déconnecter pour rdv
Séance 1
- info cours
- Controle présence
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : L3FI
Heure : 11 janv. 2021 02:00 PM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/99720148365?pwd=aUdJSnRlOHNIL2t3MEdRUnNzbFZZQT09
ID de réunion : 997 2014 8365
Code secret : 785443
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