N'oubliez pas de déposer au plus tard vos travaux sur le forum de ce groupe lundi 31 mai matin . dans la actégorie PPTglobal final
Remise finale des travaux
réservé aux etudiants IAE MB2I
Cours gestion de projets innovants
1) Introduction -Définition, risques & implications marketing
- Définitions
- analyse du risque
- Innover ou Imiter ?
- Typologies & implications marketing
2)Conception marketing du nouveau produit ( Comment avoir des idées + Concevoir un concept)
- Approche par la Veille & Transfert créatif
- Approche par l'analyse des besoins des consommateurs
- Approche Design
- Créativité & Filtrage
- Enjeux de conception marketing : quelles alternatives ?
- Concept
3) Stratégies de conquête et de lancement
processinno2.pptx processinno2.pdf
- Adoption par les consommateurs
18a-adoptionaredRED.pptx 18a-adoptionaredRED.pdf
- Modele &Théorie du gouffre & analogie militaire
- Alternatives Stratégiques de lancement pour
-
- Réduire les freins & risques du consommateur
- Accélérer la pénétration de marché (en ppt 16a - Accélérer la diffusion.ppt)
- Lancer une innovation de rupture
- Verrouiller du marché et se défendre contre l’innovation concurrente
-
-GESTION R&D
- 20aa-coursdevlptinnoRED.ppt
- 20ab-coursdevlptinnoRED.pdf
- 20b -les_plates_formes_d_innovation_jf_lacoste.pdf
- 21-leconjobs.pptx
- 21-leconjobs.pdf
1) Processus de développement de nouveaux produits
- Nouveaux enjeux du développement de produits nouveaux
- Evolution du processus de developpement
- 6 nouveaux enjeux de l’innovation
- marketing tourbillonnaire orienté consommateur
- réduction de risque marketing, études de marché & veille
- gestion de portefeuille de projets d’innovation
- dynamique de l’innovation et articulation des familles de produits
- accélération des processus et réduction des délais
- réseaux, partenariats & co-Branding
- Etapes et méthodes du processus de développement
-
- Management orbital,
- étapes ( filtrage etc …),
- Organisation (Management orbital etc)
- Problématiques de Propriété Industrielle & financement etc..
-
- Dynamique de l'innovation & Gestion de portefeuille de projets innovants
BONUS Management des Ressources Technologiques
- Elaboration d’une stratégie de développement Technologique
- Types de technologies : clés, base, émergente
- Analyse du portefeuille de technologies
- Alternatives stratégiques d’acquisition & maitrise d’une technologie
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Séance 6
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : MBZI-inno
Heure : 26 mars 2021 09:00 AM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/96813887192?pwd=T2FSOGJwdkUyRkkwMzAzbUJBUGVxZz09
ID de réunion : 968 1388 7192
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Séance 5
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : MBZI-inno
Heure : 4 mars 2021 09:00 AM Paris
Participer à la réunion Zoom
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ID de réunion : 996 0677 9150
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Séance 4
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : MBZI-inno
Heure : 25 févr. 2021 09:00 AM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/96576926719?pwd=cm82ZWxlUzZjb0RHcjFuMnVlcHJpUT09
ID de réunion : 965 7692 6719
Code secret : 273133
Séance 3
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : MBZI-inno
Heure : 12 févr. 2021 04:30 PM Paris
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https://univ-lille-fr.zoom.us/j/92357542536?pwd=R0M2SXR2QVVSdERDSHNvcjE5V3REZz09
ID de réunion : 923 5754 2536
Code secret : 381163
séance 2
isabelle wallart vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet : MBZI-inno
Heure : 6 févr. 2021 09:00 AM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://univ-lille-fr.zoom.us/j/94491275754?pwd=MWFPM0RzcVp2aFJrak5vQ2dvc09rdz09
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Code secret : 537675
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Séance 1
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Commentaires
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Etudiants CampusMathilde Lepage :
Il faut choisir le succès ou l’échec comme une posture. Un des problèmes de fond est de faire croire que le succès vient de nous, de notre personnalité, alors que ce n’est pas le cas. Pour gagner, il faudrait sortir de sa zone de confort. Inculper les gens au motif de leur posture et de leur pseudo incapacité à sortir de cette fameuse zone est destructeur et génère des suicides, dans tous les niveaux. Le succès est divisé en des règles à respecter. Ces règles sont vendues, marketées, exposées par les dirigeants starifiés. Une autre tendance viserait à dire que la réussite dans les différentes tâches entraîne le succès. On préfère donc suivre un chemin pavé de marches immanquables, il y a comme une logique où s’oppose “winner” et “looser”. On culpabilise l’échec qui serait dû à un manque de beaucoup de qualités. Il en faudrait une juste dose : oui, pour apprendre, mais pas trop. Cela dissuade les individus à l’idée de tenter de nouvelles choses, d’innover.
Il est nécessaire de percevoir l’échec comme une valeur ajoutée : c’est grâce à lui qu’on apprend. Il est édifiant et permet d’engendrer la réussite, à force de ne pas retomber dans ses erreurs, à mesure d'ajustements successifs. Ce qui caractérise les organisations innovantes, c’est le fait qu’elles autorisent l’échec, qu’elles le dédramatisent. Qu’elles en tirent de réelles leçons, des enseignements, capital de leurs actions futures. En ce sens, les grands succès découlent des échecs marquants.
Il y a une notion à prendre en compte pour qualifier une innovation d’échec ou de succès, c’est le facteur temps. Le fait que le monde fluctue et change en permanence permet par ailleurs à ces derniers de ne pas être enfermés dans un statut immuable : un échec n’est pas forcément voué à l’être trop longtemps, tandis qu’un succès immédiat peut rapidement retomber, ou ne pas l’être immédiatement. Il faut être vigilant.e et ne pas rester sur ses positions au risque de se faire dépasser. -
Etudiants CampusRyan Reggad :
Si le succès est très souvent valorisé, parfois même survalorisé, il ne faut pas négliger l’apprentissage qu’on obtient à partir échecs. L’innovation est un risque, prendre un risque c’est possiblement échouer, il ne faut donc pas avoir peur de l’échec pour pouvoir innover.
S’il est avant tout considéré comme une perte, ou une défaite, l’échec est avant tout un apprentissage. Des grandes innovations proviennent de grands échecs et de leurs apprentissages.
L’apprentissage est donc impératif car aucun succès n’est garanti comme aucun échec n’est éternel, il faut savoir rebondir et la preuve est donné avec des entreprises qui ont subis des échecs puis des succès car elles ont su rebondir. -
Etudiants CampusMaxime Fouquenet :
L’échec occupe une part prépondérante dans l’innovation, et ne s’oppose pas au succès. Ce dernier est vu comme l’objectif absolu et inversement l’échec comme une erreur, à bannir idéologiquement. Cette opposition oriente les individus à penser seulement au succès pour atteindre la réussite absolue. Le développement personnel force l’individu à adopter une mentalité de gagnant et non de perdant. Cette formation de l’individu omet les nombreux facteurs externes qui peuvent venir endommager les chances d’atteindre le succès.
L’innovation va être une prise de risque, avec différents taux de réussite ou échec attendus. Beaucoup d’entreprise vont opter pour un succès moyen sans réelle prise d’initiative, lié à la peur de l’échec. L’individu va alors auto-censurer ses idées, qui seront considérées comme « hors-cadre », cela va diminuer la capacité d’innovation. Il est primordiale de revaloriser l’échec. Il faut savoir s’en relever, apprendre de ses erreurs et ne pas se décourager. La plupart des succès naissent des grands échecs, et ces derniers forgent beaucoup plus qu’un. Tous les échecs actuels contiennent des éléments incontournables des prochains succès.
La peur de l’échec amène une entreprise à ne pas assez innover et finalement cela aboutira sur un échec. Cela pourrait, par la suite, être déterminant dans la réalisation de plus grands succès. -
Etudiants CampusSwann ROUSSEL
- Une part de l'innovation provient aussi de l'enseignement qu'on tire des échecs. La tendance managériale est plus donnée aux succès mais il ne faut pas négliger ce que l'on peut apprendre des échecs.
- Il est aussi dit que les grands succès viennent des grands échecs. De nombreux projets innovants se sont bâties sur des échecs et des enseignements tirés de ceux-ci.
- Aucun succès n'est garantie dans sa totalité. Une entreprise et une innovation qui fonctionne à ses débuts n'est pas source de tranquillité pour le reste du temps. En effet il faut savoir continuer à innover quite à se confronter à d'autres échecs pour rebondir plus fort. -
Membre d'orMarine NOLF
- Tout d'abord, dans la culture managériale, il y a une tendance à survaloriser le succès et à dévaloriser complètement l'échec. Souvent le risque de l'échec est reporté sur l'individu. Cette peur de l’échec liée à l’extrême valorisation du succès, empêche les individus à prendre des risques et donc d’innover.
- Il faut donc revaloriser l'échec car il est source d'apprentissage. 2 fois sur 3 les projets d’innovation sont des échecs. Mais très souvent, les grands succès naissent de grands échecs. Un échec permettra d’apprendre et de créer ensuite un succès. Ainsi, l’intégration réelle du droit à l’échec est un élément différenciant des entreprises les plus innovantes.
- Le temps fait la différence entre les échecs et les succès. Beaucoup de grands succès ont mis du temps à s'imposer ou certains n'ont pas duré. Il n’existe pas de succès à 100% durables ni d’échecs définitifs à 100% non plus.
- Il faut tirer avantage des retours d'expérience, que ce soit un succès ou un échec. -
Etudiants Campus- Dans un premier temps, il est important de souligner que l'échec est lié à l'innovation. L'innovation est alors une prise de risque, mais ne doit pas remettre en cause les prises d'initiatives car cela peut déboucher sur une réussite. Ainsi, lors de la confection d'un projet innovant, 2 projets sur 3 sont des échecs. Pour réussir il faut donc passer par l'échec et l'accepter.
- On peut qualifier l'échec comme un apprentissage, car il faut en tirer des leçon. Même si au premier abord, l'échec peut être perçu comme une défaite, cela fait en faite partie du processus du succès. L'échec est donc indispensable à la réussite.
- Enfin, les entreprises doivent apprendre à gérer l'échec car il n'y a pas de lancement sans échec. En effet, en reprenant l'exemple de Canal+, qui à son lancement était qualifié d'échec de la télévision payante, a finalement fait succès quelques années plus tard.
On peut donc dire que pour qu'une entreprise soit innovante, elle doit prendre des risques, et plus il y a de risque, plus il y a d'échecs. -
Etudiants CampusManon Mille :
- Pour atteindre l’innovation, il faut forcément passer par l’échec. En effet, il faudra forcement passer par la sortie de sa zone de confort.
- L’échec permet l’atteinte à un projet et succès futur. On apprend de ces erreurs et c’est grâce à cela que l’on peut déboucher sur un projet victorieux.
- Grâce aux différents exemples des entreprises, on peut voir que ce sont les entreprises les plus innovantes qui ont subi le plus d’échecs. Il est donc important de comprendre ces erreurs et rebondir. -
Etudiants CampusCéline Derbecq:
- Les échecs sont liés à l’innovation et il n’y a pas d’innovation sans échecs. Généralement, lors de la création d’un projet innovant, 2 projets sur 3 sont des échecs.
- L’échec est perçu de façon négative alors qu’il permet d’innover. Pour cela, certaines entreprises comme Microsoft ont décidé de qualifier “d’apprentissage” les projets qui n’ont pas abouti. Effectivement, tous les projets n’aboutissent pas à un succès mais ils amènent à un succès futur. Il n’y a jamais 100% de réussite ou 0% d’échec.
- La peur de l’échec peut amener une entreprise à ne pas assez innover et donc au final aboutir sur un échec. -
Pour préparer le succès, il faut sortir de sa zone de confort. L’innovation est une prise de risque avec des chances de réussite très faibles. Mais le risque fondamental est le découragement des individus et des équipes, l’aversion à la prise de risque et donc à la prise d’initiative.
Le succès passe par l’échec. Deux tiers des projets d’innovation débouchent sur des échecs apparents.
Le taux d’échecs est beaucoup plus élevé dans les entreprises les plus innovantes, comme chez google où on peut arriver à 9 échecs sur 10 voir plus. C’est une évidence absolue chez la plupart des leaders que pour apprendre, il faut passer par l’échec. Le taux d’échec est proportionnel au taux d’innovation, c’est une expérimentation constante.
Les grands succès supposent donc une prise de risque plus importante. Les projets avec une prise de risque maximale dépassent souvent les projets moyens sans atouts majeurs. Beaucoup de succès mettent du temps à s’imposer, ils ne sont pas reconnus immédiatement, le temps différencie aussi les échecs des succès. Pour progresser, le débriefing des échecs doit être bien fait.
+ innovant = + de risques = +d’échecs -
Etudiants CampusGaël Charrier :
Dans la culture managériale dominante, le succès est l’objectif absolu alors que par nature l’échec est une erreur, un défaut, une imperfection. Il y a alors une culture d’extrême valorisation du succès.
Dans cette idéologie, le succès est présenté comme la seule voie possible de la réussite. Pour cela, il suffirait de se conditionner dès le départ dans une logique de gagnant pour entrevoir la réussite. Cependant, de nombreux facteurs externes peuvent venir endommager nos chances de l’atteindre.
Les principaux risques de la survalorisation du succès sont le découragement, la remise en cause et la peur de l’échec. En effet, dans un milieu professionnel, instaurer cette mentalité peut amener à une aversion face à la prise d’initiatives. Les collaborateurs n’osent plus en prendre par peur d’échouer, ce qui est néfaste pour l’émergence d’innovations.
Ainsi, il est primordiale de revaloriser l’échec. Il faut savoir s’en relever, apprendre de ses erreurs et ne pas se décourager. Cela pourrait, par la suite, être déterminant dans la réalisation de plus grands succès.
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